Au sommaire de cette émission sur Paul Gauguin : les coulisses de l’exposition du Grand Palais, l’interview de Vincent Cassel, une enquête sur le tableau le plus cher du monde et la première brigade du Stup’ de la saison consacrée au côté « voleur d’idées » de l’artiste.
Le deuxième numéro de cette saison de "Stupéfiant !" est entièrement consacré au créateur Yves Saint Laurent, qui n’a jamais été si présent qu’en cette rentrée. Son compagnon Pierre Bergé, disparu il y a quelques semaines, a voulu les deux magnifiques musées qui ouvrent leurs portes ces jours-ci, à Paris et à Marrakech… « Stupéfiant ! » s’immerge dans l’univers de Saint Laurent, avec les femmes qui l’ont côtoyé et qui sont devenues ses muses ; au Maroc dont il est tombé éperdument amoureux et qui n’a cessé de l’inspirer ; "Stupéfiant !" a découvert les dessins interdits de Saint Laurent, des dessins érotiques, jamais vus auparavant. Carla Bruni et Jean-Paul Gaultier sont également présents pour évoquer l’immense artiste.
Plus que jamais « Stupéfiant ! », le magazine culturel sera consacré en intégralité ou football ! Le sport le plus populaire du monde s’expose dans les musées, comme au MUCEM de Marseille en ce moment. Mais il investit aussi le théâtre, la danse, la poésie, les galeries…Dans l’enceinte de Clairefontaine ou du Stade de France, Léa Salamé recevra Olivier Giroud, attaquant de l’équipe de France, et Jean-Max Colard, critique d’art et commissaire d’expositions consacrées au football.
Après l’affaire Weinstein, « Stupéfiant ! » s’interroge : le harcèlement est-il aussi présent dans le cinéma français ? Le sexisme est-il la règle ? Comment filme-t-on les femmes ? Et que pensent celles (actrices, réalisatrices, productrices) qui se sont imposées dans ce milieu d’hommes ?
Pour ce numéro spécial consacré à la gastronomie, « Stupéfiant ! » a rencontré les grands artistes des fourneaux. Enquête également sur une découverte qui pousse toute une génération de chefs à mettre la musique au menu : les sons modifient notre perception des aliments ! Vous verrez aussi que la gastronomie est souvent un argument de vente sur le marché de l’art. Et « Stupéfiant ! » vous emmènera ensuite à Shanghai où un chef « triple étoilé » français a imaginé l’expérience culinaire la plus folle du monde. Pour finir, Léa Salamé sera en cuisine avec Pierre Gagnaire, le chef qui s’inspire des grands artistes pour créer ses menus.
Cette semaine, « Stupéfiant ! » vous emmènera en voyage, au soleil, pour découvrir ou redécouvrir les plus beaux musées en plein air de la planète ! Direction le château de Chambord, Inhotim, Florence, Lanzarote et Marfa.
Cette semaine, « Stupéfiant ! » est intégralement consacré à un symbole absolu de la culture française mais aussi le plus grand musée d’art du monde : le Louvre. Découvrez les coulisses lors de son jour de fermeture hebdomadaire, comment toutes ces petites mains s'affairent pour entretenir le musée. Le Louvre s'exporte aussi avec l'ouverture récente d'un musée à Abu Dhabi. La Joconde a-t-elle posé nue devant Léonard de Vinci ? C'est la question que les journalistes de « Stupéfiant ! » sont allés poser aux experts. Enfin, Loïc Prigent s’est intéressé à l’histoire de la pyramide et Léa Salamé a rencontré Jean-Luc Martinez ainsi que Sébastien Allard, respectivement président-directeur Louvre et directeur du département des peintures.
Cette semaine, « Stupéfiant ! » revient sur les plus grandes histoires de la littérature, les vies complètement folles de certains auteurs et les mystères des prestigieuses collections… Romain Gary, légende d’un mystificateur – Par Elisa Hélain. L’amour secret de Françoise Sagan - Par Raphaëlle Baillot. Les dessous de la Pléiade – Par Gabriel Garcia. Brigade du Stup : Marguerite Duras – Par Loïc Prigent. Fitzgerald le magnifique – Par Guillaume Auda. La plus belle bibliothèque de France – Par Raphaëlle Baillot.
C’est un genre artistique depuis l’Antiquité qui a connu son apogée pendant la Renaissance, avant une longue période de censure. De nos jours, le nu est de retour : sur scène, sur grand écran ou pour des « performances », il n’y a jamais eu autant d’artistes « à poil ». Et cela suscite de nouvelles controverses !
« Stupéfiant ! » vous raconte tous les temps forts de l’année culturelle 2017. Une année extrême avec ses moments d’émotion, ses découvertes et ses images marquantes.
Pour commencer 2018 avec le sourire, « Stupéfiant ! » vous propose une spéciale humour : le rire au cinéma, sur scène et dans les musées ! Léa Salamé recevra Dany Boon, le roi du box-office et Jeremy Ferrari, le prince de l’humour noir.
« Stupéfiant ! » est entièrement consacré à celui qui reste la superstar de l’art et des musées (à voir, notamment, « Picasso 1932, année érotique » au Musée National Picasso, jusqu’au 18 février 2018). Un numéro 100 % Picasso, avec ses œuvres, son business, ses femmes et ses lieux.
C’est un fait : depuis le tsunami Harvey Weinstein, le regard sur la culture a changé, il s’est déplacé de la création à son créateur, amplifié par les réseaux sociaux. Désormais, chaque communauté qui se sent agressée par une œuvre appelle au boycottage ou à la censure. Mais il y a aussi ceux qui, sans cesse, testent les limites de la morale… Pour en parler, Léa Salamé recevra la réalisatrice Maïwenn, Marlène Schiappa, secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et l’humoriste Fabrice Éboué. Dans le prolongement de l’affaire Weinstein, d'autres sujets font débat. Faut-il interdire la réimpression des pamphlets antisémites de Louis-Ferdinand Céline ou la pratique du Blackface, le fait de se grimer en noir ?
Il y a eu les sculptures d’hermaphrodites de l’ère Antique, les modèles androgynes de Leonard de Vinci ou de Michel-Ange, les rôles travestis de Sarah Bernhardt… Plus tard, il y a eu les outrances de « La Cage aux folles » ou encore, aujourd’hui, une star de la pop comme Christine and the Queens qui revendique un « personnage libre d’être masculin ou féminin ». De tout temps, des artistes ont cherché à brouiller les lignes, pour s’en amuser, provoquer ou, plus sérieusement, pour s’interroger sur l’identité et le genre. Cette semaine « Stupéfiant ! » enquêtera sur ces artistes qui questionnent le genre, se plongera dans l’histoire des cabarets et rencontrera ces acteurs et actrices qui ont accepté de jouer un personnage du sexe opposé.
Alors que les défilés haute couture viennent de s'achever à Paris et que les expositions consacrées à la mode n'ont jamais été aussi nombreuses et fréquentées, « Stupéfiant ! » propose une émission intégralement consacrée aux « monuments » de la mode. Léa Salamé reçoit notamment Naomi Campbell, légendaire top model, et Pierre Cardin, doyen des grands créateurs français. Elle rend également hommage à Azzedine Alaïa et révèle les derniers secrets de ce génial couturier, disparu brutalement le 18 novembre dernier. Une enquête sur la place de la mode dans les musées constitue un des temps forts de l'émission.
En cette semaine de Saint-Valentin, « Stupéfiant ! » s'interroge sur la place du couple dans l'art. Rencontre avec des couples qui créent à « quatre mains », pour comprendre comment ils s'inspirent, se stimulent ou rivalisent. Enquête également sur les correspondances amoureuses, ces échanges épistolaires qui sentent le soufre et qui cartonnent en librairie. Loïc Prigent s'intéresse quant à lui aux muses. Et pour finir, direction l'Inde, à la découverte de la plus grande œuvre d'art inspirée par un couple : le Taj Mahal.
Cette semaine, « Stupéfiant ! » vous propose de retrouver cinq artistes qui ont tous marqué leur époque et révolutionné leur art… Des artistes tous devenus des immortels !
Cette semaine, « Stupéfiant ! » vous propose un numéro « 100% Sérénissime », intégralement consacré à Venise. Léa Salamé sera au cœur de la cité des Doges, en plein carnaval. Elle rencontrera notamment Oliviero Toscani, le photographe italien le plus célèbre et le plus provocant.
Trois mois jour pour jour après sa disparition, « Stupéfiant ! » consacre un numéro spécial à Johnny Hallyday, dont le nom a brusquement ressurgi au cœur d'une querelle d'héritage. «Stupéfiant !» s'intéresse à ces batailles de succession qui ont marqué l'histoire de l'art, raconte les rencontres, plus ou moins réussies, de Johnny Hallyday avec les intellectuels et explique pourquoi Johnny était un artiste de la performance. Léa Salamé reçoit le photographe Jean-Marie Périer et le réalisateur Claude Lelouch, qui ont travaillé avec la star.
Affaire Maëlys, meurtre d’Alexia Daval, rebondissements de l’affaire du « petit Grégory »... Ces dernières semaines ont été marquées par des faits divers retentissants qui choquent, intriguent et fascinent les Français. Et, un jour ou l’autre, les artistes s’en emparent ! On ne compte plus les chefs-d’œuvre inspirés d’un fait divers. Cette semaine, « Stupéfiant ! » vous emmène sur la ligne rouge entre le crime et l’art.
Le petit milieu de l'art n'échappe pas aux polémiques, aux affaires ni même aux complots. Gros plan sur les scandales qui ont ébranlé le monde de la culture ces derniers mois. En proposant un traitement de l'information culturelle à la fois sérieux et distancié, les reportages détaillent notamment le processus qui a mené à l'incroyable découverte des carnets inédits de Vincent Van Gogh. Plus d'un siècle après sa mort, un carnet comportant des esquisses singulières a été retrouvé mais les experts se déchirent : ce carnet serait un faux. Un dossier qui conduit à en évoquer un autre : les dessins érotiques d'Yves Saint Laurent sont-ils à prendre au sérieux ? Enfin, l'affaire David Hamilton, qui a secoué le monde de la photographie.
Quel rôle les hommes assument-ils dans l'art ? La virilité est-elle un idéal dépassé ? Enquête sur la parité dans le cinéma après la tribune signée par une centaine de personnalités dont Juliette Binoche, Agnès Jaoui ou encore Charles Berling. Coup de projecteur également sur Jean-Paul Belmondo, icône de la virilité souple, du dandysme charmeur. Enfin, gros plan sur l'art qui reflète ou impose les normes de la virilité, même si elles ne sont pas toujours là où on l'imagine.
Gros plan sur les artistes qui, un jour, ont interprété Dieu, sur scène, à l'écran ou dans leurs écrits, entre dévotion et blasphème. Enquête également sur des chefs-d'œuvre en péril du patrimoine, ces églises et cathédrales qui parsèment le territoire français. Enfin, rencontre avec les Petits Chanteurs à la Croix de Bois, stars du chant choral, et avec la troupe de Jesus Christ Superstar. Tous ont la même passion : chanter Dieu. Au cours de l'émission, Léa Salamé reçoit Arielle Dombasle, Frédéric Lenoir, Jérôme Prigent et François Esperet.
Cette semaine, direction le Sud ! « Stupéfiant ! » se déplace à Marseille, en pleine ébullition artistique : jusqu’au 1er septembre, MP2018 propose fêtes, expos, concerts, théâtre et danse… L’occasion d’explorer l’art autour de la Méditerranée. « Stupéfiant ! »vous raconte pourquoi Marseille est une merveille architecturale, du Corbusier et Fernand Pouillon hier à Jean Nouvel et Ora-ïto aujourd’hui. Nous vous emmenons ensuite à Saint-Paul de Vence, village mythique, refuge des stars de l’art et du cinéma depuis des décennies. Et puis direction Ibiza, paradis de l’hédonisme où perdure toujours l’héritage des hippies, un demi-siècle après 1968… Léa Salamé reçoit le comédien Philippe Caubère et l’architecte Rudy Ricciotti. Loïc Prigent se plonge lui dans l’art… des piscines pour sa brigade du Stup’.
Fin mars, le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame devenait un héros national, en sacrifiant sa vie contre celle d'une otage. Un acte de courage qui a suscité une émotion générale... Pourquoi a-t-on tant besoin de figures héroïques ? Notre époque en manquerait-elle, à l'heure où les super-héros cartonnent sur grand écran ? Enquête sur l'héroïne française absolue, qui fait fantasmer les artistes et les hommes politiques : Jeanne d'Arc. Immersion dans le temple de l'héroïsme, le Panthéon, qui s'apprête à recevoir son 77e héros de la République : Simone Veil. Comment est-on passé du culte du héros antique à la gloire de héros ouvertement plus « losers » ? Le héros est-il devenu anti-héros au cinéma ? Au Panthéon, Léa Salamé recevra Lassana Bathily, héros de l'Hyper Cacher en janvier 2015 et le philosophe et écrivain Roger-Pol Droit.
Ils sont ceux qui font le cinéma, ceux qui l’imaginent et le financent ! « Stupéfiant ! » vous propose de découvrir le monde secret des producteurs : leurs amours, leurs ennemis, leurs emmerdes… Au sommaire, portrait et interview de Thomas Langmann, le « dernier nabab », Luc Besson qui serait sur le point de vendre EuropaCorp, rencontre avec Vincent Maraval, l’histoire du film maudit « Don Quichotte » et une brigade du Stup’ consacrée à l’incroyable destin d’Howard Hugues.
Cette semaine, « Stupéfiant ! » vous propose un numéro consacré à l’art qui questionne les limites et dessine les courbes ! Un « Stupéfiant ! » spécial sexy, avec une enquête sur le nu au cinéma : une figure de style, et, très souvent, un passage obligé ! Retour sur l’homme qui inventa BB : Roger Vadim, qui révéla Brigitte Bardot au cinéma… et au monde ! La nudité, ça irrite sur les réseaux : nous avons donc voulu savoir pourquoi Facebook n’aimait pas le nu. Et puis enquête sur le tabou des tabous : le pénis dans l’art !
Comme l’an dernier, « Stupéfiant ! » s’installe sur la Croisette pour une soirée exceptionnelle ! Léa Salamé reçoit les stars et les révélations de ces premiers jours de la 71e édition du Festival de Cannes. Nos équipes de reporters vous racontent les coulisses, les belles histoires de la compétition, mais aussi les scandales et les polémiques du plus prestigieux événement cinématographique de l’année.
Léa Salamé et toute l'équipe de « Stupéfiant ! » entament une troisième saison avec une émission intégralement consacrée à « l'art de parler ». Fabrice Luchini, maître en ce domaine, est l'invité fil rouge de ce premier numéro. Au sommaire : - Parler, pourquoi est-ce un art ? - La culture du clash. - L'art de se taire.
10 ans après sa mort, Michael Jackson est plus que jamais le « roi de la pop » ! Stupéfiant ! vous propose de découvrir des facettes méconnues de cet artiste hors-norme, subjuguant et, parfois, controversé, juste avant l’exposition exceptionnelle qui lui sera consacrée au Grand Palais, à Paris (23 novembre 2018 - 14 février 2019). Léa Salamé rencontrera Olivier Rousteing, le styliste star de Balmain, dont la dernière collection était inspirée par Michael Jackson, et Marc Lambron, de l’Académie Française, qui publie « Vie et mort de Michael Jackson ». Au sommaire : - La voix de Michael Jackson, par Aurélia Perreau. - Le corps de Michael Jackson, par Julien Beau. - Et l'esprit de Michael Jackson, par Léa Barracco.
Le mois dernier, coup de tonnerre ! Pour la 1ère fois, la Mostra de Venise, a consacré un film, produit par Netflix, qui ne sortira pas sur grand écran ! Est-ce le début de la fin des salles de cinéma ? Stupéfiant ! se plonge dans la grande histoire des salles obscures avec un invité exceptionnel, Eddy Mitchell. Léa Salamé le retrouve dans le décor de son émission culte, « La Dernière Séance ». Au sommaire : Aux Champs-Elysées… ! – Par Julien Beau Dans les années 60, un film qui ne sortait pas sur les Champs-Elysées n’existait pas ! La plus belle avenue du monde était LE paradis du cinéma. Mais, depuis 20 ans, les marques de luxe rachètent tout… Alors, sur les « Champs », la résistance s’organise ! La dernière salle porno – Par Aurélia Perreau Dans les années 70, le cinéma X faisait des millions d’entrées en France. Depuis, la vidéo puis internet ont vidé les salles. Stupéfiant ! vous raconte l’histoire de la dernière d’entre elles, le Beverley, qui s’apprête à fermer ses portes. Un ciné à Tanger – Par Guillaume Auda Il y a des salles de cinéma à part et la cinémathèque de Tanger en est une ! Stupéfiant ! vous fera découvrir ce petit bijoux art déco, havre de paix et de culture, où les femmes peuvent se dévoiler, où les amoureux peuvent se cacher tout en découvrant une programmation de qualité et presque pas censurée.
En 1990, Johnny Hallyday s'étonne : 'Aujourd'hui, les intellos m'invitent à dîner. Ils regrettent qu'on ne se soit pas connus avant. Pourtant, moi je n'ai pas changé'. Johnny n'a composé qu'un seul de ses grands tubes : 'Toute la musique que j'aime'. Alors, était-il un grand artiste ? L'album posthume de Johnny et les cinquante autres qui l'ont précédé sont tous au cœur de la querelle qui déchire sa famille. Ce n'est pas la première grande bataille de succession qui défraie la chronique.
Après la diffusion de « Victor Hugo, Ennemi d'Etat », première fiction jamais consacrée au génie du XIXe siècle français qui permet de saisir l'homme intime et de comprendre ses combats, Stupéfiant ! vous propose une émission intégralement consacrée à ce monument littéraire ! Au sommaire : Tous à l’école Victor Hugo – Par Aurélia Perreau Enfant, Victor Hugo n’aimait pas l’école. Aujourd’hui, son œuvre est un passage obligé pour les écoliers et des centaines d’établissements portent son nom. Les élèves lisent Hugo, jouent Hugo, rappent Hugo ! Comment perçoivent-ils ce monstre sacré du XIXe siècle ? Stupéfiant ! vous propose un road trip dans les écoles Victor Hugo ! L’ego d’Hugo – Par Guillaume Auda A 14 ans, Victor Hugo n’avait pas peur d’écrire : « Je veux être Chateaubriand ou rien ». Plus tard, il adopta la devise « Ego Hugo ». Celui qui ne cachait pas son ambition fût l’un des premiers à utiliser la photographie ou la caricature pour servir sa propre légende. Stupéfiant ! a enquêté sur cet artiste… de la communication ! L'art des funérailles – Par Léa Barracco La légende des funérailles de Victor Hugo n’est plus à faire : le 1er juin 1885, plus d’un million de personne emporte « spontanément » sa dépouille des Champs-Elysées au Panthéon. L’an dernier, certains ont osé la comparaison avec l’hommage populaire à Johnny Hallyday… Stupéfiant ! vous racontera comment les artistes s’emparent ou non de leurs funérailles…
Le « Grand Jacques » s’est éteint il y a 40 ans. Cette semaine, Stupéfiant ! lui rend hommage et vous raconte pourquoi celui qui ne passa que quinze ans sur scène, avant de tout plaquer en pleine gloire, est plus que jamais d’actualité ! Léa Salamé reçoit Bernard Lavilliers et Gaël Faye qui lui diront pourquoi Brel reste leur superstar ! Au sommaire : Que reste-t-il de Jacques Brel ? – Par Julien Beau Pourquoi Jacques Brel fait-il toujours écho en 2018 ? Pour ses textes et ses interprétations intenses, évidemment ! Mais ce qui fascine la nouvelle génération, c’est son anticonformisme, loin du discours marketing des vedettes actuelles, très loin du politiquement correct de notre époque ! Vesoul, enquête sur une chanson – Par Gabriel Garcia « T’as voulu voir Vesoul… Et on a vu Vesoul… » Avec ce refrain, Jacques Brel propulse la petite préfecture de Haute-Saône au sommet des charts. Depuis 50 ans, cette chanson est à l’origine de nombreuses légendes. Stupéfiant ! a mené l’enquête… Le trac en questions – Par Elise Le Bivic C’est bien connu, Jacques Brel était victime d’un trac phénoménal. Avant chaque tour de chant, il en était malade et c’est d’ailleurs l’une des raisons qui le poussa à s’éloigner de la scène. Le trac, c’est l’ennemi des artistes qui doivent faire face à un public. Mais aussi parfois, leur meilleur allié…
À l’occasion de « Paris Photo », première foire mondiale consacrée à la photographie, Stupéfiant ! est entièrement dédiée cette semaine à la photo de nu, ses stars et ses légendes ! Découvrez notamment un portrait du génial et provocateur Helmut Newton, initiateur du « porno chic » et toujours un modèle du genre, 15 ans après sa mort. Mais aussi Bettina Rheims et Loïc Prigent, qui remonte aux origines de la photo de nu, dans la Brigade du Stup !
Yves Saint Laurent nous a quittés il y a dix ans. Cette semaine, Stupéfiant ! lui rend hommage et vous dit tout sur l’un des plus grands artistes du XXe siècle : son talent, ses passions, ses démons… Léa Salamé reçoit Carla Bruni, qui a très souvent défilé pour YSL, et le couturier Jean-Paul Gaultier vient nous faire une master-class sur son idole. Au sommaire : Les femmes de Saint Laurent – Par Aurélia Perreau Yves Saint Laurent a changé l’allure des femmes du XXème siècle. Il a accompagné leur émancipation. Mais qui étaient celles qui l’entouraient ? Qui l’inspiraient ? Qui le faisaient rire ? Stupéfiant ! a rencontré Catherine, Betty, Victoire, Amalia ou Colette, ses mannequins, ses muses, ses collaboratrices ou « oiseaux de nuit »… Les dessins interdits de Saint Laurent – Par Gabriel Garcia Le génie de Saint Laurent, c’était son coup de crayon. On connaît son talent pour dessiner la silhouette de la femme, mais on ignorait qu’il croquait aussi les hommes. Des dessins érotiques, des dessins interdits dont Stupéfiant ! a retrouvé la trace… Le Maroc de Saint Laurent – Par Elisa Hélain En 1966, Yves Saint Laurent découvre Marrakech avec Pierre Bergé. C’est un choc. Dès l’année suivante, le couple va y acheter une maison. Et deux fois par an, le styliste va s’y cloîtrer pour dessiner ses collections. Stupéfiant ! vous raconte le Marrakech de Saint Laurent et comment cette ville a bouleversé son art.
Cette semaine, Stupéfiant ! retombe en enfance ! Une émission spéciale « enfants » pour comprendre comment l’on doit raconter l’art aux petits et pour savoir si leurs œuvres, leurs gestes, leurs jeux, peuvent-être considérés comme de l’art ! Léa Salamé rencontre notamment la petite Ayline Aksoy-Etaix qui vient de partager l’affiche du film « Gueule d’ange » aux côtés de Marion Cotillard. Sommaire : L’art à hauteur d’enfant – Par Léa Barracco Il y a 30 ans, les enfants n’étaient pas les bienvenus aux musées, hormis pendant les visites scolaires. Aujourd’hui, ils sont très courtisés. Tout est fait pour les attirer et, avec eux, leurs parents. Entre expositions sur mesure et visites ludiques, Stupéfiant ! vous fait découvrir l’art à hauteur d’enfant. Les enfants du cinéma – Par Julien Beau De Jean-Pierre Léaud à Leonardo Di Caprio, il y a toujours eu des petits enfants sur grand écran ! Mais sont-ils des acteurs comme les autres ? Stupéfiant ! vous raconte comment la « grande famille » du cinéma accouche de ses propres enfants et comment ceux-ci grandissent, entre gloire et désillusion… L’enfance de l’art – Par Guillaume Auda Mozart, Rimbaud ou Picasso ont tous été des enfants prodiges, des artistes virtuoses reconnus dès le plus jeune âge. Mais les autres enfants ? Peut-on considérer leurs œuvres, leurs gestes, leur jeu comme de l’art ? Stupéfiant ! est parti à la recherche des nouveaux petits génies !
Stupéfiant ! vous propose une émission placée sous le signe du polar ! Quelles en sont les nouvelles tendances ? Quelles en sont les recettes immuables ? Qui sont ceux qui font le polar en France ? Léa Salamé reçoit notamment l’acteur et réalisateur Olivier Marchal, qui tient le rôle principal dans « Les Rivières Pourpres », et qui est aujourd'hui l’un des maîtres du polar au cinéma. Sommaire : Quand le polar se met au vert – Par Gabriel Garcia Dans l’imaginaire collectif, un polar se déroule dans un environnement urbain. Mais la nouvelle tendance, c’est le polar rural ! Dans la veine de Nicolas Mathieu, Prix Goncourt 2018, les auteurs s’inspirent de la France périphérique pour leurs romans noirs. Entre revendications sociales et oubliés de la mondialisation, Stupéfiant ! a remonté la trace de ce nouveau polar à la française ! Le polar vu par les flics – Par Elise Le Bivic Des policiers qui « informent » des auteurs de romans, c’est vieux comme le polar ! Mais désormais les policiers sont de plus en plus nombreux à prendre la plume. Flic le jour, écrivain la nuit, certains d’entre eux sont devenus des maîtres du polar. Stupéfiant ! a mené l’enquête auprès de ces flics qui transforment leur réalité en fiction ! Simenon, toujours roi du polar – Par Léa Barracco Bientôt 30 ans que Georges Simenon nous a quitté, mais son style, sa science de l’atmosphère et son personnage emblématique, le commissaire Maigret, restent des références absolues. Stupéfiant ! vous raconte l’incroyable histoire de ce journaliste spécialiste des fait-divers, devenu le premier auteur de polar à intégrer la Pléiade !
Cette semaine, Stupéfiant ! remonte le temps pour célébrer une année exceptionnelle. 1969, c’est le triomphe de l’esprit libertaire, du « Peace and Love » et de l’amour sans entrave… 50 ans plus tard, que reste-t-il de ce vent de liberté ? De cette « année érotique », immortalisée par Jane Birkin et Serge Gainsbourg ? Léa Salamé reçoit justement Jane Birkin pour évoquer son année 1969. SOMMAIRE : « Je t’aime… moi non plus ! » – Par Aurélia Perreau C’est le scandale de l’année 69 : Sur « Je t’aime, moi non plus », le couple Gainsbourg/Birkin simule le sexe en musique, et, malgré la censure, c’est un succès mondial ! Stupéfiant ! a retrouvé ceux qui y ont participé et ceux qui s’en sont inspirés, d’Andrew Birkin à Benjamin Biolay, en passant par Charlotte Gainsbourg ! La piscine – Par Julien Beau Alain Delon, allongé au bord d’une piscine, caresse les jambes de Romy Schneider… Et, derrière la caméra, Jacques Deray réalise un thriller érotique qui deviendra mythique ! Quiconque a vu ce film, n’a jamais plus regardé une piscine comme avant ! Stupéfiant ! vous raconte l’histoire du film le plus sexy de 1969… Les sculptures érotiques de 69 – Par Guillaume Auda En 1969, une œuvre d’art frappe les esprits : trois sculptures représentant des femmes en forme de meubles ! Des « femmes-objets » qui font hurler les féministes… Mais qui vont inspirer bon nombre d’artistes, comme Stanley Kubrick. 50 ans plus tard, Stupéfiant ! a rencontré Allen Jones, l’artiste à l’origine du scandale !
Stupéfiant ! se consacre en intégralité au football ! Le sport le plus populaire du monde s’expose dans les musées, mais il investit aussi le théâtre, la danse, la poésie, les galeries… Dans l’enceinte de Clairefontaine ou du Stade de France, Léa Salamé reçoit Olivier Giroud, attaquant de l’équipe de France, et Jean-Max Colard, critique d’art et commissaire d’expositions consacrées au football.
Il sera la star de 2019 ! Pour le 500e anniversaire de sa mort, Léonard de Vinci sera célébré partout en Europe cette année, avec pour point d’orgue, une exposition exceptionnelle au Louvre à partir du mois d’octobre… Stupéfiant ! vous propose cette semaine de tout savoir sur le génie de la Renaissance et Léa Salamé reçoit notamment le dessinateur Enki Bilal. Sommaire : De Vinci Confidentiel – Par Julien Beau Saviez-vous que Léonard de Vinci était gay, vegan et qu’il organisait les fêtes les plus folles d’Italie ? Depuis des siècles, de Vinci excite l’imaginaire des historiens, des romanciers mais aussi des théoriciens du complot… Stupéfiant ! a enquêté sur ce de Vinci confidentiel ! De Vinci, les dernières œuvres – Par Gabriel Garcia Il n’y a qu’une quinzaine de tableaux attribués à Léonard de Vinci. Le dernier mis en vente, le Salvator Mundi, a été adjugé 385 millions d’euros. Un record mondial ! Aujourd’hui, il ne reste que deux œuvres du maître entre les mains de collectionneurs privés… que Stupéfiant ! a retrouvé ! De Vinci, l’inventeur – Par Léa Barracco De Vinci n’était pas seulement un artiste… Mais aussi un inventeur de génie ! Il avait par exemple imaginé le parachute ou le scaphandre de plongée. 500 ans après sa mort, il inspire toujours les ingénieurs et les artistes du 21e siècle : Stupéfiant ! a rencontré les disciples de de Vinci !
Alors que la France connaît un mouvement de contestation inédit, Stupéfiant ! s'intéresse aux relations entre art et révolte. De « La Liberté guidant le peuple », d'Eugène Delacroix, aux affiches de Mai-68, en passant par le cinéma, comment représenter la révolte ? Gros plan également sur la saga, très mouvementée, de « La Marseillaise », un chant de guerre révolutionnaire repris dans les stades ou dans la rue, mais parfois décrié. Enfin, Stupéfiant ! pose la question du divorce entre une partie du peuple et les intellectuels. Ces derniers ont-ils entendu les Gilets jaunes ? Certains reconnaissent leur perplexité à saisir ce mouvement.
Une visite guidée sous les chapiteaux des plus grands cirques au monde conduite par Léa Salamé, qui s'immerge dans cet univers magique. Après avoir fait rêver des générations d'enfants, les cirques traditionnels, comme le cirque Pinder, traversent une mauvaise passe, entre difficultés financières et interdiction du recours aux espèces animales sauvages. Dans le même temps, avec le Cirque du Soleil, le Cirque Plume ou Archaos, se développe une nouvelle approche, sur scène, loin des chapiteaux, plus fréquentée par les adultes que les enfants. « Stupéfiant ! » raconte aussi la grande histoire du clown, un personnage plus subversif qu'il n'en a l'air.
Le Carnaval revisité – Par Elisa Hélain : Il existe depuis 1000 ans, mais se réinvente sans cesse : le Carnaval de Venise est sans doute le plus prestigieux du monde. 10 jours de masques, de costumes et de fêtes somptueuses que Stupéfiant! a redécouvert, à sa manière. Balance ton Casanova ? – Par Julien Beau : Casanova est un nom présent partout à Venise. Mais l’histoire a surtout retenu le libertin, beaucoup moins l’écrivain. Stupéfiant ! vous dira pourquoi il était un artiste de génie et pas seulement un séducteur digne de « Balance de ton porc » ! Peggy Guggenheim, « Madame Casanova » – Par Guillaume Auda : Son surnom c’était « Madame Casanova ». Son nom, Peggy Guggenheim. Elle collectionnait les hommes et les artistes. C’était une incroyable découvreuse de talent, une visionnaire de l’art du XXe siècle, et son histoire s’est, bien sûr, déroulée à Venise. « Mort à Venise » - Par Loïc Prigent : A Venise, tout est cinématographique ! On ne compte plus les films tournés dans la cité des Doges. Mais il y a eu les chefs d’œuvres comme « Mort à Venise » de Luchino Visconti… et les autres. Présenté par Léa Salamé.
Le roman « Sérotonine » de Michel Houellebecq a séduit les lecteurs immédiatement après sa parution en janvier 2019. En tête des ventes, il a permis de confirmer la popularité de cet auteur à part en France mais aussi en Europe. Léa Salamé tente de décrypter la personnalité de Michel Houellebecq. Est-il le plus grand écrivain de notre époque ? Un auteur visionnaire ? Ou simplement doué pour le marketing ? En effet, depuis la sortie de son roman, il n'a donné aucune interview. Nul autre que lui ne semble autant avoir réussi à s'emparer des thèmes de la dépression, de la misère sexuelle, du libéralisme triomphant. Né à la Réunion en 1956, Michel Houellebecq est devenu populaire avec la parution des « Particules élémentaires » en 1998. Il obtient le prix Goncourt en 2010 pour son roman « La Carte et le territoire ».
A l'occasion de l'exposition « Toutânkhamon, le trésor du Pharaon», du 23 mars au 15 septembre 2019 à la Grande Halle de La Villette, Léa Salamé dresse un portrait documenté de l'Egypte antique. En duplex du Caire, au pied des pyramides, elle reçoit ses invités. C'est l'occasion, notamment, de mieux comprendre le travail des archéologues français, des « chasseurs de trésor » entre Champollion et Indiana Jones. Mais aussi de revenir sur la saga Cléopâtre, de Liz Taylor à Monica Bellucci. Enfin, « Stupéfiant ! » s'intéresse à un aspect culturel plus récent, qui est aussi une traditin égyptienne menacée : les danseuses du ventre.
Brassens et Gainsbourg les ont chantés, Audiard et Veber les ont sublimés et, à l'ère des réseaux sociaux, ils sont partout : Gros plan sur les cons. Au sommaire : A quoi servent les cons ? - François Pignon, le roi des cons. - La revanche du con.
Un mois après la disparition de Karl Lagerfeld, « Stupéfiant ! » rend hommage à ce créateur unique et se plonge dans l'histoire de la marque dont il a été le directeur artistique pendant 35 ans. Le magazine propose de découvrir les coulisses de la maison Chanel, de la période du « Kaiser » Lagerfeld à celle de sa fondatrice, mademoiselle Gabrielle « Coco » Chanel. Au programme également : les derniers secrets du parfum le plus connu de la planète, le fameux « N°5 ». En compagnie d'invités, Léa Salamé évoque la mémoire de Karl Lagerfeld, dont le regard artistique a influencé la mode pendant plusieurs décennies.
Avec un hommage à la réalisatrice Agnès Varda, décédée le 29 mars dernier. A quelques semaines de la 72e édition du Festival de Cannes, Léa Salamé et ses invités s'interrogent sur l'avenir du cinéma hexagonal. Alors que le cinéma mondial est en pleine mutation, le cinéma français fait de moins en moins exception. Certains critiquent un modèle «pas assez rentable», qui viendrait «à la rescousse de films naufragés». D'autres dénoncent des cachets trop importants pour des comédiens plus assez «stars» ni «bankables». Est-ce la fin des stars ? La fin du cinéma d'auteur ? Et la fin des critiques ? Léa Salamé et ses invités abordent toutes ces questions.
Avec 10 millions d’entrées, le Louvre vient de devenir le musée le plus visité au monde ! Partout, la fréquentation explose et de nouveaux musées, toujours plus spectaculaires, voient le jour chaque mois ! Cette semaine, « Stupéfiant ! » cherchera à comprendre cette « folie musée ». Pourquoi le public se presse-t-il comme jamais dans ces institutions ? Pourquoi y a-t-il de plus en plus de fondations privées ? Le magazine vous emmènera également au Qatar, en pleine conquête du monde de l’art. L’émirat vient d’inaugurer son Musée national, dessiné par Jean Nouvel. Vous découvrirez celle qui incarne cette conquête : Sheikha al Mayassa, alias « Culture Queen » ! Enfin, direction New York, où « Stupéfiant ! » a eu accès aux coulisses les plus impressionnantes de cette « ville-musée » par excellence !
C’est l’histoire d’une résurrection ! Il y a 30 ans le vinyle était donné pour mort, « assassiné » par la pureté du son du CD ! Aujourd’hui, les ventes de vinyle doublent chaque année. Stupéfiant ! vous expliquera les raisons de ce retour en grâce. Vous découvrirez l’incroyable saga de “l’empereur du vinyle” , un homme qui a produit Dalida, Charles Aznavour ou encore Alain Bashung : monsieur Eddy Barclay. Et puis qui dit “vinyle”, dit “pochette” : Stupéfiant ! a retrouvé les artistes qui ont créé pour les Beatles, Prince et Etienne Daho. Enfin, Léa Salamé retrouvera Véronique Sanson, chez elle : l'artiste lui racontera sa carrière et sa vie au travers des pochettes de ses disques.
Le débat fait rage : Faut-il reconstruire Notre-Dame à l’identique ou pas ? En 5 ans ou plus ? 3 semaines qu’un incendie a ravagé l’édifice vieux de 850 ans et que la question de la reconstruction est sur toutes les lèvres. Stupéfiant ! vous dira, grâce aux meilleurs experts, pourquoi reconstruire peut faire polémique et pourquoi c’est autant une question artistique que philosophique. Léa Salamé s’entretiendra avec Mgr Patrick Chauvet, recteur de Notre-Dame de Paris, qui lui fera découvrir, en exclusivité, les travaux en cours autour de la cathédrale. Reportage par ailleurs à Venise pour voir comment la Fenice, l’un des plus beaux opéras du monde, a été deux fois ravagé par les flammes et deux fois reconstruit. Et focus sur ces architectes qui ont rebâti la France d’après-guerre. De Royan au Havre, leurs travaux ont longtemps été critiqués. Mais aujourd’hui, ils sont réhabilités !
Pour la troisième année consécutive, Léa Salamé se rend sur la Croisette pour célébrer la plus grande fête du cinéma. La journaliste reçoit les stars et les révélations des premiers jours de cette 72e édition du Festival de Cannes. L'équipe du magazine rend hommage à l'acteur Alain Delon, qui va recevoir une Palme d'honneur. Les belles histoires de la compétition mais aussi les polémiques de ce prestigieux événement seront aussi évoquées.
Fin avril, le président de la République Emmanuel Macron demandait à chacun de donner le meilleur de lui-même pour reconstruire ce qu'il appelle «l'art d'être français». Mais que signifie cet art ? Avec des intellectuels, des comédiens et des artistes, «Stupéfiant !» a mené l'enquête.
On les appelle « courtisanes », « demi-mondaines », « filles de joie », « cocottes », « grandes horizontales »… À la fin du XIXe siècle, Paris compte d'innombrables prostituées. Des femmes qui fascinent les artistes de l’époque. De Manet à Picasso, en passant par Degas ou Toulouse-Lautrec, ces muses d’un genre nouveau leur inspirent les plus grands chefs-d’œuvre. Tous les écrivains, de Zola à Maupassant, content la splendeur et les misères des courtisanes. À l’occasion des expositions « Toulouse-Lautrec, résolument moderne » au Grand Palais et « Degas à l’Opéra » au musée d’Orsay, ce documentaire de 90 minutes raconte la place centrale qu’ont joué ces femmes dans le développement de la peinture et de la littérature modernes.
C'est un petit quartier parisien, presque un village autour de son clocher, mais dont le nom résonne dans le monde entier : « Saint-Germain-des-Prés », quatre mots qui agissent aujourd'hui comme un aimant autant qu’un repoussoir. Il y a bien sûr la mythologie germanopratine : Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Juliette Gréco, Boris Vian, les clubs de jazz, les cafés littéraires, la fête, la liberté… Mais pour ses détracteurs, c’est surtout une légende dont profitent aujourd’hui les marchands de luxe et quelques intellectuels médiatiques. « Germanopratin » serait surtout devenu synonyme d’« élite déconnectée ». Au cours du film, Léa Salamé rencontrera Alain Souchon, Etienne Daho, Liliane Rovère, Pierre Arditi ou encore Frédéric Beigbeder pour comprendre comment cette histoire, réelle ou affabulée, imprègne toujours les imaginaires, et s’il existe un Saint-Germain… d’après Un film d’Elise Le Bivic et Guillaume Auda.
La figure de Jésus ne cesse de fasciner les artistes. Qu'ils soient cinéastes, chanteurs ou romanciers, ils sont nombreux à avoir créé dans leurs oeuvres des interprétations de Jésus. Léonard de Vinci, Martin Scorsese, Jean-Sébastien Bach et Johnny Halliday en ont tous fait une superstar ! Son image, son mystère, son symbole, sa face christique et sa face caché font de lui un artiste à part entière. L'art, y compris contemporain, a même largement pris ses libertés sur la figure de Jésus à travers des créations parfois provocatrices et controversées.
De Shakespeare à Molière en passant par Charlie Chaplin, Gainsbourg, Colette et les Drag Queens, les travestis ont frayé leur chemin dans la clandestinité avant d’embrasser la lumière. A l’abri sous les ors de Versailles, de la Comédie-Française ou de la vénérable Académie, ces mâles au féminin ou ces femmes en pantalon, ont peu à peu dépassé leur statut de paria pour devenir une source d’inspiration. La figure du travesti, extravagante et ambigue, a d’abord fait rire avant de faire réfléchir et convoque à sa manière un autre genre. Dans ce documentaire, Léa Salamé part à la rencontre notamment de Didier Bourdon, Erik Orsenna et Bambi, les «créateurs» de Madame Arthur.
Le scandale de l'affaire Matzneff pose la question des relations que les artistes et les écrivains entretiennent avec le désir de la jeunesse et la représentation du corps adolescent. De Balthus à la Lolita de Nabokov, de l'Antiquité grecque à André Gide, de Gainsbourg à Gabriel Matzneff, l'art peut-il tout se permettre ? L'imagerie du corps adolescent doit-elle être réglementée ? Les artistes des années 70 et 80 ont-ils participé aux dérapages que la libération de la parole révèle depuis quelques années ? Ce documentaire retrace l'histoire de l'art et des adolescents et la façon dont les bouleversements de la société influencent le regard porté sur ces représentations.
Musées et cinémas fermés, tournages et répétitions interrompus, festivals et concerts annulés : la culture en France est à l'arrêt depuis le 17 mars 2020. Du jamais vu dans l'histoire de l'Humanité. Pourtant, pendant le confinement, elle est apparue essentielle à tous. Impacté lourdement par la crise du Covid-19, le secteur artistique cherche aujourd'hui à se réinventer et à "enfourcher le tigre", selon l'expression du chef de l'Etat. Les créateurs veulent croire que l'Art est une partie de la solution. Les professionnels de l'industrie culturelle et les artistes ont confié à Léa Salamé leurs craintes, leurs angoisses mais aussi et surtout leurs idées et des perspectives pour l'avenir.
Soixante ans après la sortie du film "Les 400 Coups", un nouveau public a découvert le cinéma mythique de François Truffaut pendant le confinement. Le réalisateur y évoque, comme dans ses autres films, des thèmes qui lui sont chers comme son récit de l'enfance, sa passion des femmes et sa vision de l'homme. Ce documentaire révèle, à travers les témoignages de ceux qui l'ont fréquenté, ceux qui l'ont analysé et ceux qui l'ont passionnément aimé, un regard neuf sur l'oeuvre d'un réalisateur plus que jamais intemporel.
Il existe des lieux paradisiaques où l'art et la nature ne font plus qu'un. Ces paradis perdus ont nourri l'imagination des artistes qui y ont trouvé refuge. Ainsi, les îles vierges des Marquises ont servi de décor aux plus belles oeuvres de Paul Gauguin. À Marrakech, les couleurs des étoffes et les épices ont inspiré Yves Saint Laurent. De la forêt tropicale brésilienne aux îles grecques en passant par le désert du Chihuahua au Texas, ce documentaire part à la découverte de ces édens artistiques qui ont permis aux créateurs de donner libre cours à leur démesure afin de transformer leurs créations.
Alors que le mouvement américain "Black Lives Matter" résonne dans le monde entier, ce documentaire s'intéresse à la représentation des noirs dans la culture populaire française. Entre caricatures tristes et racisme, le regard sur l'homme noir est rempli de mythes, de stéréotypes et d'allégories. Des artistes pourtant font avancer les mentalités. Léa Salamé et son équipe sont allés à la rencontre de personnalités qui aident à penser ces représentations, ces clichés et ces nouveaux modèles.
Cinquante ans après la mort du Général de Gaulle, ce documentaire s'intéresse au rapport qu'il entretenait avec la culture et les artistes. Alors qu'il a été publié en tant qu'écrivain dans la Pléiade, De Gaulle était aussi un grand orateur qui a marqué la France. Léa Salamé dresse un portait de cet artiste de la politique qui a laissé un héritage culturel, à travers les témoignages de ceux qui l'ont côtoyé comme Hugues Aufray ou Antoine, mais également à travers les explications de spécialistes comme Raphaëlle Bacqué et Catherine Nay, des historiens et des acteurs prestigieux comme Fabrice Luchini.
Longtemps considéré comme un sujet tabou, le désir féminin a surtout été évoqué par des hommes. Ces derniers ont représenté les femmes, les ont filmées, peintes et fantasmées. Entre modèle et objet, la femme était davantage désirée que désirante. Ce documentaire s'intéresse au désir féminin du point de vue des femmes. Léa Salamé est allée à la rencontre d'artistes afin de comprendre comment et quand les femmes se sont réappropriées leur image, leurs désirs et leurs fantasmes. Ensemble, ils s'interrogent sur le regard de l'homme et de la femme pour savoir s'il est si différent.
130 ans après sa mort, Arthur Rimbaud est aujourd'hui un symbole de la jeunesse et de la révolte. Son génie artistique, ses amours avec Verlaine, sa vie de bohème et son renoncement à toute vie littéraire ont forgé sa légende. Les artistes du monde entier, de Bob Dylan à Serge Gainsbourg, et même les politiques s'en inspirent, faisant d'Arthur Rimbaud une icône intemporelle. Les plus grands spécialistes - Alain Borer, André Guyot, Lucille Pennel ou Agnès Spiquel - brossent un portrait iconoclaste de l'homme de lettres et Léa Salamé rencontre quelques rimbaldiens illustres tels l'avocat Dominique de Villepin, le photographe Francois-Marie Banier et le chanteur Nicola Sirkis.
En quinze ans de pouvoir, Napoléon a laissé une empreinte indélébile sur le monde par ses conquêtes militaires et sa politique, mais aussi grâce aux arts. Peintres, sculpteurs, architectes, il a enrôlé une armée d'artistes pour construire le récit enjolivé de ses conquêtes et de sa gloire. Précurseur du marketing et du storytelling, Napoléon s'est forgé une image reconnaissable entre mille pour conquérir les esprits. Du héros romantique à la pop musique, de Stendhal à Abba, en passant par Chaplin, les plus grands génies, fascinés par le destin hors du commun de l'Empereur, se sont confrontés au mythe.
Aux quatre coins de la France, bistrots et troquets font battre le coeur des villes et des villages. Ils font partie du patrimoine français et constituent une part originale du génie national. Les artistes le savent, eux qui ont représenté, exalté, magnifié et même animé les cafés tout au long de l'histoire. Emile Zola en parlait comme du parlement du peuple, les Impressionnistes en ont fait un art de vivre, Jean-Luc Godard et Claude Sautet les ont transformés en décors de cinéma. Pour célébrer les cafés, Léa Salamé a convié des écrivains, chanteurs, artistes et intellectuels.
Aussi génial que détestable, obsédé par la beauté, inventeur de la poésie moderne, Charles Baudelaire abhorrait son époque. Le poète fut condamné pour outrage aux bonnes mœurs, et l'œuvre de sa vie, "Les Fleurs du mal", censurée. Aujourd'hui, si de nombreux artistes s'approprient les mots de Baudelaire, le génie reste auréolé d'une lumière sombre. Pour les 200 ans de sa mort, la France qui aime fêter ses grands écrivains a largement oublié le plus vénéneux d'entre eux. "Le doc Stupéfiant" se penche sur ce paradoxe, celui d'un réactionnaire moderne, d'un odieux sublime, d'un génie incompris.
Autant admiré que controversé, Sade est un personnage doublement sulfureux : par ses actes et par ses écrits, véritables catalogues de perversions sexuelles. Emprisonné au XVIIIe siècle, vilipendé, condamné aux éditions clandestines, "le divin marquis" est devenu synonyme d'une pratique sexuelle réprouvée : le sadisme. Sade sera pourtant partiellement réhabilité, influencera largement les intellectuels français et sera porté aux nues par les plus grands : de Baudelaire à Giacometti, de Pasolini à Simone de Beauvoir. Aujourd'hui, certains vont même jusqu'à faire de Sade une figure féministe. A l'occasion de l'entrée du manuscrit des "120 journées de Sodome" dans les collections de la Bibliothèque nationale de France, "Le Doc Stupéfiant" propose un portait inédit d'un libertin sans limite.
C'est une des plus importantes découvertes artistiques de ces dernières décennies : la réapparition de milliers de pages manuscrites d'un géant controversé de la littérature du XXe siècle, Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline. Tout le monde pensait ces documents - des originaux, des lettres et des projets entiers - perdus. Ces feuillets éclairent la vie tumultueuse et tonitruante de l'auteur d'un jour nouveau. Ils révèlent tout son génie littéraire et sa plume, mais aussi sa face sombre, la collaboration, son antisémitisme, et même la piste d'un enfant caché.
Pendant des siècles, le rire est resté une prérogative des hommes. Longtemps placé sous surveillance, le rire féminin est toléré dans les salons, à l'abri des regards. Des spécialistes, des historiens et des artistes, parmi lesquels Anne Roumanoff, Nora Hamzawi, Laurent Baffie, Nelly Quemener, Xavier Mauduit, Sabine Melchior-Bonnet ou encore Maud Amour, retracent la lente conquête, au fil des siècles, du rire par les femmes.
Reconnaissable entre mille, le commissaire Maigret crée l'événement cinématographique de cet hiver. Après Jean Gabin ou Bruno Crémer, c'est Gérard Depardieu qui incarne le personnage iconique de George Simenon, inspiré d'un vrai fonctionnaire de police. Vidocq, Borniche, Bertillon, les grands flics sont une source de création intarissable pour les artistes. Delon et Belmondo ont construit leur carrière sur la figure du flic. Pourtant, son image est brouillée par les violences policières et désacralisée par la chanson contestataire. A l'occasion de la sortie de "Maigret", de Patrice Leconte, enquête sur les relations troubles qu'entretiennent les artistes avec la police, entre fascination et répulsion.
Jusqu'en 1982, date de la dépénalisation de l'homosexualité en France, les homosexuels ont été caricaturés, insultés et même condamnés. Ils ont dû vivre cachés du regard des autres et créer leurs propres espaces de liberté : les bals, la nuit et surtout l'art. Les artistes ont contribué à rendre visible les homosexuels, d'abord par les mots puis par l'image, et enfin en investissant la culture populaire. Jean Cocteau, Colette, Charles Trenet ou Hervé Guibert, tous ont joué avec les interdits, subverti la morale, détourné les clichés et dissimulé pour mieux montrer l'homosexualité.
Cinq ans après le début de #MeToo et soixante ans après sa disparition tragique, Marilyn Monroe est une femme d'aujourd'hui. Derrière le mythe hollywoodien du sex-symbol mondial, de la victime écorchée et ingénue, se cache une femme moderne, qui s'est emparée de son destin, a construit sa propre image et n'a pas hésité à balancer avant l'heure certains producteurs. Une femme émancipée, puissante et libre. Ce documentaire contient des séquences inédites et des archives rares avec Catherine Deneuve, Isabelle Adjani, Leïla Slimani, Anna Strasberg, Céline Sciamma, Luz, Anna Mouglalis, ou encore Carole Amiel.
C'est une des plus importantes découvertes artistiques de ces dernières décennies : la réapparition de milliers de pages manuscrites d'un géant controversé de la littérature du XXe siècle, Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline. Tout le monde pensait ces documents - des originaux, des lettres et des projets entiers - perdus. Ces feuillets éclairent la vie tumultueuse et tonitruante de l'auteur d'un jour nouveau. Ils révèlent tout son génie littéraire et sa plume, mais aussi sa face sombre, la collaboration, son antisémitisme, et même la piste d'un enfant caché.
Depuis les années 1960, les Rolling Stones, incarnation du "sexe, drogue et rock'n'roll", entretiennent une relation particulière avec la France. Du concert chaotique de la salle Vallier, à Marseille, en 1966, à l'enregistrement d'"Exile on Main Street", leur album écrit sous influence dans une villa de la Côte d'Azur, en passant par le mariage mythique de Mick Jagger à Saint-Tropez, le groupe de rock britannique a vécu de folles années françaises. Des images inédites et des interviews de collaborateurs, de critiques de rock et de musiciens lèvent le voile sur cette relation passionnée des Stones avec l'Hexagone.
