Alors que les équipes du Bioparc s'occupent quotidiennement de plus de mille animaux, François, le directeur, lance un projet d'extension de 15 000 m2.
Alors que les vétérinaires sont préoccupés par l'état de santé d'un oiseau d'une espèce rare, un œuf de vautour est découvert dans le nouvel amphithéâtre.
À quelques heures de l'ouverture de saison au Bioparc, une vague de froid extrême, accompagnée d'importantes chutes de neige, s'abat sur la région.
Un an après l'ouverture de l'espace consacré à la faune de l'Himalaya, le Bioparc imagine une nouvelle extension : un espace de 2,5 hectares consacré aux lions et aux guépards.
Sur le chantier, la construction de la hutte centrale d'observation, véritable noeud du chantier et étape cruciale, occupe toutes les attentions.
Une erreur sur la hutte d'observation panoramique bloque l'ensemble du chantier tandis qu'un rhinocéros s'apprête à qutter le parc pour la République Tchèque.
Après un nouvel arrêt des travaux sur la volière, des failles dans la roche pourraient déstabiliser l'imposante hutte d'observation situé à 10 mètre de hauteur.
Alors que tout semble se débloquer autour de la volière et de la hutte d'observation, un vautour moine s'évade du Bioparc peu avant la fermeture hivernale.
Alors que le compte à rebours est lancé, des retards accumulés, la météo capricieuse et la fatigue de l'équipe mettent en péril l'ouverture du Cratère des Carnivores.