Charles de Gaulle n’est pas mort. Il est prisonnier des Allemands. Dans un camp de détention, parmi d’autres officiers de l’armée française, il se fait un devoir de s’évader pour rejoindre le front. Pour s’échapper, il échafaude de nombreux plans rocambolesques, mais se fait reprendre à chaque tentative. Il passe 1 000 jours en captivité pendant lesquels il développe ses idées politiques. À sa libération, en 1918, il critique les termes de la paix imposée à l’Allemagne. Cette période fut formatrice pour le futur leader que l’on connaît en 1940.