Da nun so ziemlich alle aus der Gruppe bis auf getötet und zerstückelt wurden, versucht das große Alien nun auch Kei und die anderen beiden zu vernichten. Während des Überlebenskampfes kommen in Kei immer wieder Kindheitserinnerungen hoch und er gewinnt wieder mehr Vertrauen in sich selbst und so gelingt es am Ende doch noch das Monster in seine Schranken zu weisen. Aber muss es tatsächlich getötet werden, um die "Runde" überstanden zu haben.
The new Gantz participants have to face off against a really nasty alien.
Le père du martien, fou de rage de voir son fils mort ,commence à attaquer les Gantzers et en tue trois de plus. Il se tourne alors vers Katô qui commence à lui expliquer qu’il n’y est pour rien, mais le martien n’a pas l’air de comprendre et le fait dévaler une colline. Il ne reste plus que Kei et la fille qui décide de s’échapper lorsqu’une voiture percute le martien. Mais les passagers de la voiture ne voient rien(les Gantzers sont dans une sorte de monde parallèle, ils peuvent interagir avec le monde extérieur mais l’œil humain ne peut pas les voir). Malheureusement il n’est toujours pas mort et se lance de nouveaux à leur poursuite. Kei voit alors des escaliers et décide de les sauter mais celui-ci fait un bond de plusieurs mètres de haut, grâce à la combinaison qui augmente les capacités, et atterrit sans trop de mal. Le martien descend les escaliers et s’approche de Kei mais Katô qui était juste à côté tente de le retenir, en vain. Kei arrive alors à le battre grâce à la force que lui procure la combinaison mais ne l’achève pas. C’est alors qu’arrive Nishi qui immobilise le martien et qui demande à Kei de l’achever…
Il grosso alieno si vendica, eliminando i membri del gruppo. Kei scopre che la sua tuta gli conferisce poteri speciali.
Los nuevos participantes de Gantz tienen que enfrentarse a un extraterrestre realmente desagradable.
Os novos participantes de Gantz têm que enfrentar um alienígena realmente desagradável.
Новым участникам Ганца предстоит сразиться с очень неприятным инопланетянином.
