Petite journée ordinaire pour les Bougon : Junior et Mao profitent de la fête des mères pour effectuer une razzia chez les disquaires et le père Bougon accueille un politicien en campagne électorale.
Leur propriétaire annonce aux Bougon qu’il a obtenu la visite d’un inspecteur de la Régie du logement. Les Bougon se retrouveront-ils à la rue ?
Un employé du gouvernement s'annonce pour inspecter la garderie des Bougon. Si la garderie, jusque là, était bidon, les ennuis, eux, sont maintenant bien réels.
La mère Bougon (Louison Danis) nationalise des immigrants et Mononque (Claude Laroche) obtient un véritable boulot dans une poissonnerie.
Junior (Antoine Bertrand) est en amour, mais les amours de ce gros sentimental ne sont jamais faciles. Quant à Pépère (Pierre Ébert), il est sale. À qui reviendra la tâche de le laver ?
On annonce l'augmentation des taxes sur le tabac. C'est l'occasion pour les Bougon d'aller naviguer sur le lac St-Louis, entre Kahnawake et la chic résidence du richissime beau-frère.
Un producteur aux intentions malicieuses veut faire de Dolorès (Hélène Bourgeois Leclerc) une vedette de variétés pour enfants. De son côté, Junior (Antoine Bertrand) réalise qu'il est gros.
Maman (Louison Danis) prépare des produits alimentaires « maison » pour une boutique d'alimentation naturelle, tandis que Mononque (Claude Laroche) essaye d'obtenir un emploi dans une chaîne de restauration rapide.
Le père Bougon (Rémy Girard) souffre. Pendant qu'il est soigné à toutes les vitesses, Junior (Antoine Bertrand) et Mononque (Claude Laroche) font un peu de récupération...
La DPJ sauve Mao (Rosalée Jacques) des griffes des Bougon. Pendant que Junior (Antoine Bertrand) et Mononque (Claude Laroche) partent à la recherche des responsables, on s'organise pour que Rita (Louison Danis) ne se rende compte de rien.
Les Bougon donnent leur pleine mesure à l'occasion de l'annuel salon de l'ésotérisme.
Les Bougon adaptent leur mode de vie aux moeurs du temps des fêtes. Junior, lui, met tout en oeuvre pour ne pas passer Noël seul.
Catastrophe : Junior (Antoine Bertrand) est arrêté. Pendant que le père Bougon (Rémy Girard) met tout en oeuvre pour sortir son fils de prison, Mononque (Claude Laroche) s'initie à la dure réalité du métier de fonctionnaire.
Junior est jugé et condamné à des travaux communautaires auprès d'handicapés. Gagnon, le représentant de la défense des pauvres, débarque chez les Bougon avec des journalistes.
Dolorès et Maman se lancent dans la naturopathie tandis que Mononque devient un héros canadien.
Dolorès (Hélène Bourgeois Leclerc), avec l'aide de Junior (Antoin Bertrand) et Mononque (Claude Laroche), se lance dans la culture hydroponique « thérapeutique ».
La famille Bougon se lance en affaire... pyramidale. Mononque (Claude Laroche) s'implique dans le scoutisme.
Papa (Rémy Girard) désire faire plaisir à Junior (Antoine Bertrand) qui est déprimé. Il se met en tête d'organiser une rencontre entre son fils et Véro (Véronique Cloutier). Mao (Rosalee Jacques) fait le commerce des seins.
Dodo (Hélène Bourgeois Leclerc) adhère à une secte. Papa (Rémy Girard) et Maman (Louison Danis) tentent de l'en faire sortir. Junior (Antoine Bertrand) embarque Mononque (Claude Laroche) et Mao (Rosalee Jacques) dans une sombre histoire d'enlèvement.
Mononque magasine pour s'acheter une auto et Maman se fait faire un make-over.
Junior retourne à l'école... Maman vole des tondeuses à gazon en profitant du machisme des quincailliers...
À la grande joie de Mononque, papa et lui sont contrôlés par l'aide sociale et doivent réintégrer le marché du travail. Mao est victime de racisme à l'école. Maman s'automatise...
Pépère (Pierre Ébert) est trop malade et les Bougon envisagent de le placer dans un endroit où il sera pris en charge par des professionnels. Junior (Antoine Bertrand) décide de s'inscrire dans une agence de rencontres pour se «matcher».
Pendant que l'on s'occupe des funérailles de Pépère (Pierre Ébert), Dodo (Hélène Bourgeois Leclerc) et Mao (Rosalee Jacques) vont chercher la tante Louisette (Lise Castonguay). Junior (Antoine Bertrand) prépare une surprise à Papa (Rémy Girard) et Mononque (Claude Laroche)...
Les Bougon essaient d'ouvrir un coffre-fort particulièrement fort, tandis que Dolorès confond héroïne et badminton...
Dolorès est en cure de désintoxication et thérapie fermée. Junior et Maman arnaquent les propriétaires de chiens... jusqu'à ce qu'une fille arnaque le coeur de Junior.
Les Bougon transforment leur appartement en Bed & Breakfast. Dodo suit des cours de moto.
Papa et Maman se font passer pour des entrepreneurs. Junior envisage fabriquer du faux argent.
Mononque se fait engager par le beau-frère Bessette. Junior tombe amoureux alors que Papa et Maman luttent contre la canicule.
Alors qu'on se lance dans le lucratif commerce de l'eau, Junior tente sa chance dans la lutte.
Mononque travaille pour la voirie municipale. Junior va visiter les beaux-parents.
Le couple Papa et Maman traverse une crise, tandis que Junior vit les pires moments de sa vie. Rien de moins.
Mononque fait du bénévolat pendant que Papa amène Ben Laden chez le vétérinaire.
La famille est invitée dans une fête-surprise pour le 35e anniversaire de mariage d'Aline et Jean Bessette. Les Bougon côtoient le grand monde... Mononque traverse une période suicidaire. Heureusement, il est aussi compétent à se suicider qu'à exister...
Après une tentative dans le pétrole, les Bougon se lancent dans la production télévisuelle.
Suite aux événements vécus par Mao, Maman considère qu'ils sont allés trop loin et qu'ils doivent rembarquer dans le système. Malgré l'opposition de Papa, tous se résignent et se trouvent un boulot ou presque; Mononque étant le seul à ne pas se trouver un vrai emploi. Bien sûr, ce moment honnête sera un fiasco...
Pour regagner l'amour de sa blonde, Junior (Antoine Bertrand) risque gros... Papa (Rémy Girard) et Maman (Louison Danis) vont dans les Laurentides... et Mononque (Claude Laroche) révèle tout.
Suite aux événements vécus par Mao, Maman considère qu'ils sont allés trop loin et qu'ils doivent rembarquer dans le système. Malgré l'opposition de Papa, tous se résignent et se trouvent un boulot ou presque; Mononque étant le seul à ne pas se trouver un vrai emploi. Bien sûr, ce moment honnête sera un fiasco...
Avec l'argent amassé depuis longtemps, la famille décide d'en profiter un peu. Ils achètent une maison dans un quartier huppé et leurs voisins capotent... De son côté, Mononque devient vendeur de meubles dans un magasin où les employés préparent la syndicalisation. Déchiré entre le boss et le syndicat, choisira-t-il le bon camp?
Beaudoin (André Lacoste) plante une pancarte « À vendre » devant sa maison et vient même négocier un pourcentage du prix de vente avec les Bougon, s'ils se montrent de bons locataires. Lorsque le duplex est sur le point de se vendre, les Bougon réalisent que les nouveaux acheteurs envisagent de les évincer. Un inspecteur en bâtiment saura décourager les acheteurs...
Mononque se trouve une job dans une banque. Rapidement, il réalise ne pas y trouver son « compte ». Papa, Junior et Mao donnent dans l'extermination de vermine... en jouant sur la peur des « p'tites » madames.
Dodo découvre qu'elle est enceinte et songe à l'avortement... mais Maman s'en mêle. Et voilà que Ben Laden est alcoolique.
Tandis que Mononque s'enrôle dans l'armée, Mao vend des cochonnets avec Caron (Julien Poulin), maintenant propriétaire d'une méga-porcherie. Ils vendent leurs « cochons-nains » sur le Plateau Mont-Royal parce que tout le monde mange bio. Les cochons pas-nains-du-tout, que Caron ira récupérer lorsqu'ils seront devenus trop gros, seront donc certifiés bio... Voilà comment on fait engraisser ses cochons par d'autres pour ensuite leur revendre plus cher, en jambon bio!
Mononque part de la maison et se retrouve dans un immeuble rempli de gens comme lui et pire encore. À la maison, Maman arrête de fumer pour son bien et celui de Dolorès qui est enceinte. Cette dernière publie un roman qu’elle a écrit en cachette, intitulé Plote. Son oeuvre devient un grand succès...
Mononque travaille dans les transports en commun et vit mal son déménagement. Dodo fait dans la télécommunautaire. On lui propose une chronique sexualité dans un magazine télé. Dodo fait fureur avec sa façon si personnelle d'aborder le sujet! Papa donne un coup de main à Chabot (Vincent Bilodeau) pour qu'il fasse son quota mensuel de contraventions.
Mononque se fait une blonde par le biais d'une agence de rencontres. Mao invite Papa à faire un exposé oral dans sa classe. Papa vit la désillusion de l'enseignement moderne et de notre « belle jeunesse ».
Les Bougon se sont fait cambrioler! Devant le refus des assureurs de les indemniser, Papa décide de lancer les Bougon dans l'aventure des assurances. Junior se filme durant ses expériences Jackassiennes afin de devenir millionnaire et avoir plein de filles.
Dodo, devenue « Madame sexualité » au Québec, suit des cours d'étiquette. Lors d'une première théâtrale, elle découvre l'hypocrisie de ce milieu. Maman reçoit ses amies pour remplir des formulaires afin que Dodo gagne un prix littéraire. Elle découvre la jalousie de son milieu. Mononque veille sur l'éducation de Mao qui va étudier chez lui en cachette. Malgré les fréquentes visites de Mao, son moral baisse de jour en jour.
De petites interventions en gros méfaits, Papa Bougon devient un véritable « parrain » du quartier, jusqu'à ce qu'il soit dénoncé. Il subit alors un procès qui s'avère une véritable « commission Bougonery ».
Papa découvre les hauts et les bas du milieu carcéral que l'on dit « paradisiaque ». Maman s'ennuie de son gros. Dodo accouche entourée de sa famille. C'est la fin du monde tel qu'on le connaît aujourd'hui.
Paul Bougon, le père d'une famille vivant d'aide sociale, décide de se lancer en politique pour réformer un système trop corrompu et bureaucrate. Il fonde le « Parti de l’Écœurement National » (le PEN) et s'adjoint de sa femme Rita et de ses enfants. Son discours populiste réussit à lui attirer de nombreux sympathisants.
