Cette semaine, l'équipe du 3615 Usul vous propose une chronique un peu particulière nommée 3615 Research & Development. Dorian vous y livre notamment ses opinions sur les soi-disant petits jeux flash et XBLIG.
Dorian revient nous édifier avec un nouvel épisode de 3615 Research & Development consacré aux mécanismes mis en oeuvre pour rendre les joueurs accros aux social games et surtout les pousser à passer à la caisse.
Depuis leur apparition dans les jeux vidéo jusqu'à aujourd'hui, les QTE divisent toujours autant les joueurs. Niveau zéro de l'interactivité pour certains, nécessaires pour impliquer le joueur dans l'action selon d'autres, les QTE se retrouvent désormais imbriqués dans nombre de productions qu'on le veuille ou non.
Lors de cette conférence E3, un terme est sans doute revenu plus souvent que les autres : open world. Dorian tente de nous expliquer les raisons de ce phénomène.
Dorian s'est mis sur son trente-et-un pour nous parler du contrôle qualité et surtout du système de loots dans les jeux vidéo.
Vous aimez râler sur le manque de difficulté des jeux actuels ? Ce Merci Dorian devrait vous remettre les idées au clair. Il vous apprendra que les jeux ne sont pas nécessairement toujours plus simples et que l'évolution de la difficulté est tout simplement liée à l'évolution des pratiques.
Comme son nom l'indique, Dorian nous explique cette fois l'équilibrage dans les jeux.
Cette semaine, Dorian se penche sur un élément très important du jeu vidéo, et du jeu dans son ensemble, autrement dit le game design.
Suite logique de l'épisode précédent portant sur le game design, ce Merci Dorian vous dit tout sur le level design, la conception de l'environnement et son impact sur le gameplay.
Dorian s'intéresse aux jeux dont les niveaux sont générés de manière procédurale. Qu'est-ce que cela signifie et qu'est-cela implique exactement ? Dorian vous explique tout. Merci qui ?
Dorian s'intéresse cette semaine à la classification dans l'univers du jeu vidéo.
Dorian nous parle cette semaine de l'éternel débat entre les ludologues et les narratologues sur la conception vidéoludique.
Cette semaine, pas d'analyse en profondeur de la part de Dorian, mais un reportage réalisé à l'occasion du Stunfest qui se tenait à Rennes le week-end du 2 au 4 mai.
Les jeux sont de plus en plus beaux, de plus en plus proches de la réalité. Mais est-ce pour autant qu'ils sont réalistes ? Dorian se pose aujourd'hui la question dans son émission.
Dorian délaisse cette semaine nos vertes contrées pour s'intéresser à la pratique culturelle et la création de jeux vidéo sur le continent africain.
Cette semaine, Dorian propose un épisode un peu particulier dans lequel il rend visite au studio Alkemi, composé d'une petite équipe qui s'attelle à l'élaboration du jeu Drifting Lands.
Dorian revient cette semaine sur le rapport entre le sport et les jeux vidéo. Tout un programme !
Dorian revient sur la maniabilité et le feeling des jeux vidéo à travers un nouvel épisode de la chronique Merci Dorian.
Cette semaine, Dorian propose un épisode un peu particulier dans lequel il rend visite au studio Mi-Clos qui s'est attelé à l'élaboration de l'excellent Out There.
Après s'être intéressé à l'Afrique, Dorian nous fait cette fois voyager en Amérique latine, marché porteur d'espoir pour les éditeurs de jeux vidéo.
Dorian s'est rendu cette semaine en Bretagne pour rencontrer le studio Sushee, un indépendant français qui réalise de l'advertgaming et du jeu vidéo plus classique.
Dorian se penche cette fois, non pas sur un éditeur ou même un jeu, mais sur l'élément sans lequel nous (du moins les joueurs consoles) ne serions rien, à savoir les manettes.
Dorian s'attaque au principe de puzzle dans les jeux vidéo. Enigmes, casse-tête : tout y passe à travers une analyse pertinente et renseignée.
Cette semaine, Dorian vous offre un voyage onirique au coeur des mystères du jeu vidéo.
Cette semaine, Dorian vous propose d'étudier les dialogues des jeux vidéo.
Cette semaine Monsieur Dorian occupe vos neurones en se penchant sur les grandes questions qui entourent cet aspect ô combien fondamental du jeu, vidéo ou pas, qu'est le multijoueur. En compétition ou en coopération, de manière synchrone ou asynchrone, en temps réel ou au tour par tour, il existe de nombreuses façons de jouer à plusieurs, chacune ayant ses propres particularités.
Cette semaine, l'ami Dorian passe au crible une composante essentielle du jeu vidéo : l'intelligence artificielle.
Cette semaine, Dorian s'appuie sur les déclarations de Jean Luc Mélenchon sur Assassin's Creed Unity pour essayer de vérifier si les jeux sont porteurs de réels messages et notamment si la narration est aussi développée dans le domaine vidéoludique que dans les autres arts majeurs.
Qui n'a jamais rêvé de créer son propre jeu sans avoir la technique ou les outils pour se lancer ? Dorian pense à vous cette semaine en vous proposant un tutoriel pour apprendre à créer les déplacements dans votre propre jeu, tirant profit des outils de création proposés par GameMaker. Rendez-vous est donc donné dans deux semaines, pour un nouveau Merci Dorian qui vous permettra d'aborder un autre aspect de la création d'un jeu vidéo.
Ce dimanche, Dorian revient sur un domaine crucial de l'univers du jeu vidéo : les sons. Qu'il s'agisse de musiques emblématiques ou de bruitages qui nous permettent en un éclair de reconnaître le titre dont ils sont tirés, l'importance de cet aspect est ici évoqué dans toutes ses largeurs.
Dorian nous parle aujourd'hui des rapports qu'entretiennent les jeux vidéo avec les jeux de plateau. Vous saurez tout sur l'historique de ce divertissement et la manière dont celui-ci a évolué, débouchant sur trois grandes familles ainsi que sur les jeux de cartes à collectionner.
Qui aime les tutoriels ? Pourrait-on s'en passer ? Dorian s'interroge dans cette nouvelle chronique qui tente d'analyser dans quelle mesure un tuto peut rapidement devenir lourdingue s'il se révèle trop intrusif dans un jeu.
Cette semaine, Dorian s'attarde sur un point essentiel qui figure dans énormément de titres auxquels nous jouons : l'avatar de notre personnage de jeu vidéo. De l'identification du joueur à son avatar à la signification que peuvent prendre les traits qu'il lui donne, Dorian vous explique tout.
Épineuse question que celle des armes à feu dans les jeux vidéo. Dorian prend cette semaine le risque d'évoquer un sujet qui n'en finit plus de créer des polémiques, malgré son existence quasiment permanente dans notre loisir préféré.
Dorian nous offre un retour sur l'arrivée des trophées et autres succès qui sont maintenant indissociables de nos jeux. Ces achievements apparus du côté de Microsoft il y a une bonne dizaine d'années sont ici décortiqués et analysés afin d'en déterminer l'origine et l'intérêt dans le cadre d'une pratique du jeu vidéo.
Dorian revient ce dimanche sur une distinction essentielle entre les règles du jeu et les mécaniques du jeu, deux points proches sur le papier mais finalement différents pour peu que l'on se penche dessus.
S'il existe plusieurs titres ne proposant aucun combat, le mécanisme fait partie intégrante de bon nombre de nos softs préférés. Il n'en fallait pas plus à Dorian pour choisir de s'attarder sur cette dimension adoptant des formes variées selon les styles de jeux évoqués.
Vous êtes blasés de voir votre personnage sortir de l'écran ou au contraire en occuper une place trop importante ? Dorian vous propose un retour sur ce mécanisme essentiel du jeu vidéo et qui fait tant grincer les dents des joueurs lorsqu'il est mal calibré : la caméra.
Mécanisme inhérent au jeu vidéo, l'exploration de terres inconnues répond directement au besoin d'évasion des joueurs. Vous l'aurez deviné, Dorian propose de revenir cette semaine sur ce terme, vous offrant pour l'occasion de jolis paysages et un retour sur les univers qui s'y prêtent à merveille. Alors, qu'est-ce qu'on dit à notre Dorian national ?
Dans un monde vidéoludique où les grosses productions tendent à se ressembler, un village d'irréductibles jeux résiste tant bien que mal et propose une expérience différente. Vous l'aurez compris, la chronique Merci Dorian du jour s'attarde sur ces titres à part que l'on appelle les jeux expérimentaux.
Cette semaine, Dorian n'est pas là. Heureusement, on a trouvé un remplaçant pour cet épisode qui traite des adaptations littéraires.
Cette semaine, Dorian nous en dit plus sur quelque chose d'essentiel dans le jeu vidéo : la coopération. Que ce soit au travers de campagnes à deux, ou lors de parties multijoueurs comme sur des MOBA, il est souvent très difficile de créer une cohésion entre les joueurs et de les unir autour d'un but. Le secret ? Un game design travaillé dans ses moindres détails.
Et s'il fallait mettre un euro dans votre PC à chaque respawn de votre jeu préféré ? Plus généralement, comment est-on passé de l'arcade aux jeux modernes "interminables" comme The Witcher 3 ? Cette semaine, Dorian revient sur un des paramètres les plus controversés du jeu vidéo moderne : les durées de vie.
Il y a bien longtemps, dans une chronique ancienne, très ancienne… Oups, ça vient de Star Wars ça. Aujourd'hui, Dorian s'intéresse aux plagiats dans l'univers du jeu vidéo. D'où viennent-ils, quelles-sont leurs conséquences ? Et surtout, sont-ils graves ? Éléments de réponse dans l'épisode du jour.
De passage à la Ludum Dare, Dorian s'est intéressé à ce qu'était exactement une game jam. Quelle est son histoire ? En quoi cela consiste ? Saviez-vous que le prototype de Titan Souls venait d'une game jam ? Cette semaine, Dorian revient donc sur ces événements encore peu connus du grand public.
Cette semaine, Dorian s'intéresse à une question encore épineuse aujourd'hui : Le jeu vidéo est-il un art ? Une interrogation qui fait toujours débat. Pour beaucoup de joueurs, la réponse est évidente et se matérialise par un "oui" ferme et définitif. Mais même des personnalités du milieu remettent en cause le côté artistique du jeu vidéo.
Le jeu vidéo tente souvent de se rapprocher du cinéma en proposant justement ses fameuses cinématiques. Des moments de pause où le joueur suit une vidéo faisant avancer l'histoire la plupart du temps. Si des jeux en usent à foison, comme la série des Metal Gear ou des Final Fantasy, certains ont complètement intégré les cinématiques à leur gameplay, comme les jeux de David Cage que sont par exemple Beyond : Two Souls et Heavy Rain. Mais d'autres encore tentent de s'affranchir de ces vidéos parfois frustrantes, en proposant un gameplay au service de la narration et non l'inverse. Dorian revient donc cette semaine sur les cinématiques dans le jeu vidéo.
Cette semaine, Dorian se pose la question de ce qui fait une bonne interface dans un jeu vidéo. Si celles-ci étaient très en avance sur leur temps dans les années 80, elles se retrouvent aujourd'hui un peu à la peine. Une vidéo vaut mieux qu'un long discours, nous vous laissons donc découvrir le dernier numéro de Merci Dorian.
Cette semaine, pas de Défi du Challenge mais un nouveau Merci Dorian. Point de départ de cette nouvelle vidéo, le Gamergate qui a frappé le monde du jeu vidéo outre-Atlantique l'année dernière. En prenant cet événement de départ, Dorian se pose la question de la diversité, et plus particulièrement la parité, dans les jeux vidéo. Nous vous laissons découvrir son avis en vidéo. N'hésitez pas à donner le votre dans les commentaires.
Certains d'entre nous se rappellent encore avec nostalgie (ou pas) les longues soirées passées avec des amis sur un jeu de rôle papier. Malheureusement, quelques uns ont préféré passer du côté des jeux vidéo pour vivre ces aventures épiques, leur imagination ne suffisant plus ou, simplement, la lassitude faisant effet. Dorian se pose cette semaine la question du statut du jeu de rôle au sein du jeu vidéo.
Cette nouvelle vidéo de Merci Dorian s'intéresse à la critique des jeux vidéo de la part de la presse spécialisée. Comment les personnes travaillant dans le milieu doivent ils évoluer et sur quoi doivent-ils se baser pour effectuer ce changement ? Dorian vous propose ses éléments de réponse.
Cette dernière vidéo de Merci Dorian s'intéresse aux fins dans les jeux vidéos. Merci Dorian nous explique pourquoi le fait que les jeux vidéos doivent avoir une fin ne va pas nécessairement de soi.
