C'est la rentrée scolaire pour 144 jeunes qui ont un rêve en commun: devenir pompier. Les élèves découvrent leur nouvel environnement et les défis qu'ils devront relever dans la prochaine année, dont l'épreuve ultime du fameux parcours du pompier.
Les élèves du groupe 186 ont leur premier contact avec le feu. Une visite dans le simulateur d'embrasement leur fera comprendre qu'être pompier est un métier dangereux.
La mission première des pompiers est de sauver des vies. Les élèves vont apprendre comment faire la recherche de victimes dans un environnement hostile et sans visibilité.
Voilà presque trois mois que les aspirants pompiers sont à l'IPIQ et la fatigue commence à se faire sentir. Les émotions sont à fleur de peau et les jambes sont plus lourdes, mais leur désir d'être pompier est plus fort que tout.
Les futurs pompiers vont apprendre à la dure que l'ordre et la discipline doivent être respectés en tout temps à l'IPIQ. Richard Béliveau, l'enseignant responsable du volet paramilitaire, leur réserve une surprise.
C'est une des journées les plus stressantes de l'année pour les recrues. Sans visibilité et sans oxygène, ils vont devoir compléter un parcours brutal qui ne pardonne pas. Pour les élèves, c'est un premier contact direct avec leur mortalité.
Les élèves vont apprendre les rudiments du sauvetage sur glace. Malgré le froid sibérien, les jeunes vont devoir se jeter dans les eaux glaciales de la rivière des Prairies et sortir une victime de l'eau.
Deuxième volet du sauvetage sur glace. Les élèves apprendront à naviguer les eaux glacées et devront faire leur examen de sauvetage sur glace, prérequis pour graduer. Et on refait le parcours du pompier. Y aura-t-il amélioration des performances?