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All Seasons

Season 1

  • S01E01 Rasheed Wallace

    • October 10, 2013
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    "Every Time he took a shot on me, he said "Don't worry young fellah, I'm paid for this. I'm paid for doing this to you."... " Kwame Brown, courtside after a game against Rasheed Wallace Portrait/chronique sur Rasheed Wallace

  • S01E02 Scottie Pippen

    • October 10, 2013
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    De 1987 à 2004, Scottie Pippen a écumé les parquets NBA. 17 saisons au cours desquelles il a pu faire admirer ses immenses qualités de basketteur. Il pouvait défendre à tous les postes, sur tous types de joueurs. En attaque, il savait tout faire également... Portrait de Scottie Pippen

  • S01E03 Tony Parker

    • October 11, 2013
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    Le meneur Français est au top de sa carrière actuellement, à moins qu'il ne continue encore de progresser... Il ne se contente plus de dominer, il est devenu un grand leader, un joueur à qui un coach peut donner les clés de l'équipe sans hésiter. Parker n'a encore « que » 31 ans, il a encore de belles années à donner à son sport. Des années au cours desquelles il va s'appliquer à entériner son statut, celui de monstre du basket et de futur Hall of Famer. Portrait de Tony Parker

  • S01E04 Tracy McGrady

    • October 11, 2013
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    Véritable virtuose offensif pendant ses années au Magic ou aux Rockets, McGrady a fait rêver des générations entières de fans de basket à travers de nombreuses performances offensives prodigieuses. Son talent et ses qualités athlétiques n'ont eu d'égal que sa propension aux blessures, ce qui l'a certainement empêché d'exploiter encore plus son potentiel phénoménal. Portrait de Tracy McGrady.

  • S01E05 Shaquille O'Neal

    • October 17, 2013
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    Quel est le meilleur mot pour définir Shaquille O'Neal ? Grand ? Gros ? Puissant ? Agile ? Charismatique ? Méchant ? Clown ? Showman ? Dominant ? Hack-a-Shaq ? Lancer ? Dunk ? En fait le Shaq, c'est un peu de tout ça. Un joueur qui a profondément marqué le poste de pivot, la NBA et le basket en général. Quelques repères... Le Shaq c'est 19 saisons (de 20 ans à 39 ans) dont les 13 premières en double double à plus de 20 points et plus de 10 rebonds par match avec des pointes à quasiment 30 points et plus de 13 rebonds par rencontres sur plusieurs exercices. 4 bagues, 3 fois MVP des Finales, 1 fois (seulement) MVP de saison régulière, 15 fois All Star. Côté chiffres, en saison régulière, le Shaq c'est 28 596 points (6ème all time), 13 099 rebonds (14ème all time) et 2 732 contres (7ème all time) et, en playoffs, O'Neal est 4ème marqueur (5 250), 4ème rebondeur (2 508) et 4ème contreur (459) de l'histoire ! «Shaq aurait pu et aurait du être MVP pendant 10 saisons d'affilée.» Coach Phil Jackson Chronique/Portrait sur Shaquille O'Neal

  • S01E06 Larry Johnson

    • November 5, 2013
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    La carrière de Larry Johnson dans la Grande Ligue n'aura duré que 10 saisons mais celui qu'on surnommait « Grandmama » nous a offert 10 années à 1000%, 10 années à fond aussi bien au niveau de son investissement physique et mental qu'à travers les émotions qu'il transmettait aux fans. Une carrière vécue à 100 à l'heure par cet ailier au profil si particulier. « LJ » n'a pas de bague, pas de titre de MVP, il ne sera allé qu'une fois en Finales mais il est le joueur qui a placé la franchise des Hornets et la ville de Charlotte sur la carte de la NBA dans les années 90 grâce à ses performances énormes, son leadership, son sens du spectacle et l'énergie qu'il dépensait sur un parquet. Chronique/Portrait sur Larry Johnson

  • S01E07 Larry Bird

    • November 11, 2013
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    Un jour, il fut demandé à Michael Jordan qui (autre que lui-même) il voudrait voir prendre un shoot crucial dans un match serré. Avant même que la question puisse être finie, Jordan répondit : "Larry Bird" sans la moindre hésitation... Il y a quelques années, Magic Johnson a twitté : "Jordan fut le meilleur dans les airs et Larry le meilleur au sol (en même temps, il ne pouvait pas sauter...)". L'inoubliable numéro 32 des Lakers avait raison ! Un soir de février 1985, les Celtics étaient en déplacement à Utah, chez le Jazz. En trois quart-temps, Bird noircit la feuille avec 30 points, 12 rebonds, 10 passes et 9 interceptions. Il était donc à une interception d'un quadruple double. Pourtant il n'est pas revenu sur le parquet car Boston dominait ce match de plus de 20 points et il déclarera tout simplement après la rencontre: "J'avais déjà fait assez de dégâts." Il était comme ça le grand Larry, trashtalker mais aussi très peu porté sur lui même, sur ses stats ou les records à battre... Un joueur unique, une légende du basket. D'ailleurs, Magic Johnson ne s'y est pas trompé et n'oublia pas de le faire remarquer lorsqu'il fit un speech pour la retraite de son grand pote à qui il adressa ces mots : "Larry, tu m'as menti une fois. Tu m'avais dit qu'il y aurait un autre Larry Bird. Larry,je te le dis, il n'y aura jamais, absolument jamais un autre Larry Bird." Encore une fois, Magic avait raison... Chronique/portrait de Larry Bird

  • S01E08 Dennis Rodman

    • November 19, 2013
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    De 1986 à 1999, Dennis Rodman a écrit sa légende en NBA. La légende d'un joueur pas comme les autres. Un maniaque du rebond, un fanatique de la défense sur l'homme qui a posé d'immenses problèmes aux meilleurs attaquants de la ligue qui ont croisé sa route. Les tâches obscures étaient le rayon de Rodman et il mettait un point d'honneur à les remplir à chaque rencontre... "Ce que je fais et que personne d'autre ne fait, c'est sauter trois ou quatre fois pour un rebond." "J'ai plus faim que tous les autres gars. Chaque rebond est un challenge personnel." Chaque soir, Dennis "The Worm" dépensait une énergie fabuleuse sur les parquets, son caractère le rendait très difficile à gérer pour ses coachs ou ses partenaires mais, partout où il est passé, Rodzilla a gobé du rebond et tout donné pour contenir l'attaque adverse ce qui a fait de lui une pièce essentielle des équipes avec lesquelles il a gagné 5 bagues de champion. "Je ne sais pas qui sera MVP de ces Finales ou pas mais ce que je sais c'est que Dennis Rodman a fait gagner ces deux matchs. Il est la raison pour laquelle ils ont autant de succès." George Karl, à l'époque coach des Seattle Supersonics, après le match 6 des Finales de 1996 (victoire des Bulls 4-2). Rodman est le symbole du joueur qui pèse sur un match quasiment sans marquer de points. Un OVNI, un fou, un monstre du jeu... Portrait de Dennis Rodman

  • S01E09 Brandon Roy

    • November 28, 2013
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    Qui n'a pas suivi, les yeux remplis d'étoiles, les débuts, les premières saisons de Brandon Roy en NBA ? Qui n'a pas suivi, les yeux mouillés de chagrin, les déboires de ce même Brandon à cause d'un vilain mal aux genoux ? Qui ne s'est pas dit : « Mais c'est pas possible ! Quelle Tristesse ! Quel gâchis ! Ce joueur aurait du devenir une énorme star... » ? En fait, nous avons tous ressenti ce genre d'émotions devant la très courte, mais très intense carrière de B-Roy. Tous... « Brandon sera toujours un TrailBlazers dans nos coeurs et dans nos esprits. Il était un All Star et un guerrier. Tous les soirs, il nous éblouissait sur le parquet et donnait tout ce qu'il avait pour nous aider à gagner. Il était un modèle sur et en dehors du terrain et à travers son leadership, il a refait de nous une franchise qui gagne. » Larry Miller, PBO (Président des Opérations Basket) des Blazers de 2007 à 2012. Et oui, tout cela est vrai... Mais c'est aussi ça le sport de haut niveau : du grand spectacle, des sensations fortes et, parfois, des moments très cruels. La Grande Ligue n'échappe pas à cette règle. Brandon Roy en est un des exemples les plus marquants. Portrait de Brandon Roy

  • S01E10 Carmelo Anthony

    • December 5, 2013
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    Carmelo Anthony est-il VRAIMENT un Franchise Player ? Pour son dixième épisode, The Ball Never Lies se penche sur cette question qui est un vrai sujet d'actualité en ce moment avec le début de saison catastrophique des Knicks. Melo est un scoreur né, une machine à enfiler les paniers quelques soient les situations ou les défenses proposées. Et pourtant, depuis 10 ans qu'il évolue dans la Grande Ligue, il a beau marquer 25 points en moyenne par rencontre, il n'a jamais réussi à porter une équipe ne serait-ce que jusqu'en Finales NBA. Une fois, avec Denver, il est allé en finale de Conférence (2009) mais sinon, les saisons de Melo se terminent généralement au premier tour de playoffs, au mieux en demi-finale de Conférence... Alors, quel est le problème de ce magnifique joueur ? Peut-on vraiment le considérer comme un leader, un joueur capable de tirer une équipe vers le haut ? Toutes ces questions méritaient bien quelques minutes de réflexion, vidéo à l'appui comme toujours avec The Ball Never Lies...

  • S01E11 Hakeem Olajuwon

    • December 12, 2013
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    Depuis sa création, et à part actuellement, la Grande Ligue a toujours vu évoluer des pivots dominateurs qui faisaient gagner leurs équipes. Les années 90 sont certainement les plus fournies en Big Men de légende et c'est pourtant pendant cette période qu'Hakeem Olajuwon a dominé les raquettes. "Hakeem Olajuwon était un pivot dont vous ne pouviez pas étudier le jeu car il avait trop de moves. [...] Au poste bas, il pouvait tout faire, ses feintes étaient très variées, il pouvait shooter en sky hook des deux mains,vous enrouler avec un spin move. Il est vraiment celui contre lequel je n'ai jamais trouvé la clé." Shaquille O'Neal Et oui, Hakeem "The Dream" a marqué l'histoire NBA à travers ses 18 saisons fournies en contres (très fournies), en moves indéfendables et en exploits retentissants. Olajuwon était beau à voir jouer et, en plus, il noircissait la feuille de stats soir après soir. Ses 12 premières saisons (de 1984 à 1996), Hakeem les a finies en double double (plus de 20 points et plus de 10 rebonds) avec plusieurs exercices à plus de 2 interceptions et 4 contres par match ! Hakeem "The Dream" Olajuwon était un monstre, le pivot le plus complet de l'histoire voire même le meilleur tout simplement... "Si je devais choisir un pivot (Pour faire la meilleure équipe de tous les temps) je prendrais Olajuwon. Je sais, ça laisse de côté des gars comme Shaq, Pat Ewing, ça laisse de côté Wilt Chamberlain ou Kareem Abdul-Jabbar. Ça laisse de côté beaucoup de gars. Et la raison pour laquelle je prendrais Olajuwon est très simple : Ce qu'il peut donner depuis sa position est tellement complet. Ce n'est pas seulement du scoring, pas seulement du rebond ou des contres. Les gens ne réalisent pas qu'il a été plusieurs fois dans le top 7 (sur une saison) en interceptions. Il prenait toujours les bonnes décisions sur le parquet. Pour tous ces aspects du jeu, je le choisirai lui." Michael Jordan Si c'est le boss qui le dit c'est qu'il doit y avoir du vrai et que

  • S01E12 Allen Iverson

    • January 9, 2014
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    Le maillot n°3 d'Allen Iverson a été retiré par les Sixers et c'est plus que mérité pour ce combo-guard au talent immense qui a défrayé la chronique pendant les 14 saisons où il a foulé les parquets NBA (dont 10 sous le maillot des Philadelphie Sixers). "Quand vous ne vous entraînez pas, quelqu'un est en train de devenir meilleur..." Allen Iverson Iverson est l'un des meilleurs arrières scoreurs que la Grande Ligue ait connu. Des dizaines de matchs à plus de 40 ou 50 points, une pointe à 60 unités un soir de février 2005 face au Magic, "The Answer" était absolument inarrêtable. Il compensait sa petite taille par une vitesse supersonique, des dribbles dévastateurs, un culot monstrueux, une capacité de travail digne des plus grands et un cœur plus gros que la Pennsylvanie toute entière. Un talent inné, une rage de vaincre et un mental qui lui viennent de la rue, là où il appris la vie et à manier la grosse balle orange. "J'ai pris tout ce que j'ai appris dans les rues et je l'ai mis dans mon jeu en NBA." Allen Iverson Voilà une phrase qui résume bien le "Little Big Man". Un joueur absolument unique dans l'histoire NBA. Un joueur qui a porté très haut les couleurs des Sixers sur ses frêles épaules. Un joueur qui a fait rêver et fait encore rêver des générations entières de fans de basket. Plus qu'un joueur en fait, A.I. est une légende qui fut MVP en 2001, 11 fois All Star, 4 fois meilleur marqueur de la saison, 3 fois meilleur intercepteur et, surtout, un génial pourvoyeur de spectacle match après match.

  • S01E13 Magic Johnson

    • January 19, 2014
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    Earvin "Magic" Johnson... Une véritable légende munie d'un sens du spectacle et d'un charisme digne d'une rock star. Un joueur sans qui la NBA ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui. Un joueur dont le sourire cachait habilement l'âme d'un tueur des parquets, l'âme d'un grand leader capable de transcender ses coéquipiers tout en détruisant le moral de l'adversaire. "Je ne pense pas qu'il y aura un autre meneur de 2m06 qui sourit pendant qu'il vous humilie." (James Worthy) Earvin "Magic" Johnson... Un meneur de la taille d'un ailier fort maîtrisant la balle comme s'il faisait 1m80 et possédant un 6ème sens qui lui permettait de savoir en permanence exactement où sont ses coéquipiers sur le parquet. Un joueur capable de dominer un match en terme de points, de rebonds, de passes décisives, d'interceptions et, bien sûr, de "show time". Un joueur éminemment collectif prêt à tout pour faire gagner son équipe. "Ne vous demandez pas ce que vos coéquipiers peuvent faire pour vous, demandez-vous ce que vous pouvez faire pour vos coéquipiers." (Magic Johnson) Earvin "Magic" Johnson... Un magicien qui pouvait transformer n'importe quel ballon en caviar. Un artiste dont les passes aveugles étaient le quotidien et dont le génie a ébloui la planète basket de 1979 à 1992. "Magic est fou. Il est ce fou sauvage sur le parquet, très sérieux et très intense. Il est ce gars qui vit, mange et respire basketball." (Magic Johnson) Earvin "Magic" Johnson... Un monstre pour qui le basket était plus qu'un sport ou un métier, c'était un art et le "show time" un mode de vie.

  • S01E14 Steve Nash & Amar'e Stoudemire

    • January 29, 2014
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    En revenant aux Suns à l'été 2004, Steve Nash va faire la connaissance d'Amar'e Stoudemire cet intérieur qui n'est alors en NBA que depuis 2 ans mais qui défraye déjà la chronique par ses qualités athlétiques hors du commun et ses dunks puissants. De 2004 à 2010, Nash et Stoudemire vont former un duo offensif terrifiant. "J'ai vu le futur de la NBA et son nom est Amar'e Stoudemire." Shaquille O'Neal en février 2003 "C'est un grand joueur, un grand shooteur, très dangereux car il est toujours en train de vous attaquer." Tony Parker à propos de Steve Nash Ce binôme est donc l'association entre un meneur 2 fois MVP, 8 fois All Star et 4ème passeur le plus prolifique de l'histoire avec un ailier fort de 2m08, 115kg, d'une puissance rare, possédant une détente impressionnante et excellent techniquement. Leur jeu à deux en pick and roll a rendu la paire Nash & Stoud' quasiment indéfendable dès qu'elle se met en mouvement. Et avec Nash, du mouvement il y en avait ! Des points aussi et des passes décisives en pagaille... "Nash va peut-être vous planter 30 points mais ce sont ses 15 passes décisives qui vont vous tuer." Scott Skiles (recordman du nombre de passes décisives en un match avec 30) Nash utilisait parfaitement les écrans de son compère, il savait créer du jeu et trouver ses coéquipiers. Stoudemire, lui, n'avait peur de rien et savait se placer au bon endroit, faire la bonne course pour que son génial meneur puisse le servir. Ensuite le physique et la technique de STAT faisaient le reste. Ensemble, ils sont devenus les rois du pick and roll ! Dans son nouvel épisode The Ball Never Lies propose une chronique sur les forces insensées de ce duo infernal qui a élevé le pick and roll au rang d'arme de destruction massive à travers leurs qualités personnelles incroyables et leurs aptitudes complémentaires pour ce jeu à deux.

  • S01E15 Kevin Garnett

    • February 9, 2014
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    Patron de défense, rebondeur, contreur, intercepteur, dunker, trashtalker, energizer, passeur, atomisateur, aboyeur, provocateur... Oui Kevin Garnett a été tout cela ! Il est aujourd'hui dans la 19ème année d'une carrière extrêmement riche, la carrière d'un monstre des raquettes. "Tous les coachs que je connais seraient prêts à se couper un bras pour l'avoir dans leur effectif." PJ Carlesimo Oui, Kevin Garnett est un joueur qui change tout un collectif. Un joueur qui a placé les Wolves sur la carte de la NBA. Un joueur qui savait tout faire sur un terrain. Un joueur qui est le seul de l'histoire à pouvoir se targuer d'avoir compilé, tout au long de sa carrière, plus de 25 000, 10 000 rebonds, 5 000 passes décisives, 1 500 interceptions et 1 500 contres ! Le seul joueur de l'histoire à avoir enchaîné 6 saisons d'affilée (de 1999 à 2005) à plus de 20 points, 10 rebonds et 5 passes de moyenne par match ! Oui, Kevin Garnett est une légende NBA par ses lignes statistiques ahurissantes et aussi, et surtout, par sa capacité à transformer la mentalité de son équipe. Ce n'est pas Danny Ainge qui nous contredira sur ce point : "Est-ce qu'il valait le coup ? Absolument ! Il nous a gagné un titre. Il a changé notre culture." Danny Ainge, GM des Celtics champion en 2008. Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin et KG est au crépuscule de son immense carrière. Encore un que nous ne sommes pas prêts d'oublier...

  • S01E16 Isiah Thomas

    • February 25, 2014
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    Scoreur, passeur et intercepteur le plus prolifique de l'histoire des Pistons, Isiah Thomas est également le joueur ayant participé au plus de matchs sous ce maillot mythique (presque 1 100, saisons régulières et playoffs inclus). Mais celui qu'on surnommait aussi "Zeke" n'a pas seulement marqué Motor City, il a laissé une empreinte indélébile sur les parquets NBA et dans les esprits de tous ceux qui ont eu la chance de le voir évoluer. Thomas est clairement un des meilleurs meneurs à avoir foulé les parquets NBA. Un monstre de technique et de mental ! Deux fois champion dont une fois en étant MVP des Finales et 12 fois All Star en 13 saisons, le talent d'Isiah était tout aussi évident que son côté vicieux, provocateur et bagarreur qui lui a d'ailleurs coûté sa non-sélection au sein de la Dream Team de 92. "Notre but est de dominer l'Est et nous devons continuer de dominer l'Est de façon à pouvoir retourner en Finales NBA. Et je pense que, mentalement, nous devons devenir une équipe plus dure. Je pense que c'est cette dureté mentale qui va faire de nous des champions." Isiah Thomas après les finales perdues en 1988. Une phrase qui en dit long sur l'état d'esprit d'Isiah. L'état d'esprit du chef d'un commando d'élite appelé les Bad Boys. Des gars qui, en pratiquant un basket décrié, ont réussi à aller chercher deux titres en 1989 et 1990 dans une NBA où la concurrence était extrêmement forte. Mais si ces Pistons ont décroché deux bagues, ce n'est pas seulement en cassant des nez ou des bras. C'est parce qu'ils étaient prêts à suivre leur chef quoiqu'il arrive, quoiqu'il en coûte et parce que ce chef était un grand meneur d'hommes doublé d'un meneur de jeu dont le niveau de vision, de créativité, de technique et de mental fut rarement égalé ! Alors il est clair qu'Isiah Thomas n'a pas forcément laissé un bon souvenir à certains joueurs et à certains supporters quand il fut General Manager (ceux des Knicks notamment ne me contrediront pas sur ce point) ma

  • S01E17 Drazen Petrović

    • March 9, 2014
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    Quel fan de basket ne se souvient pas de ce 7 juin 1993 qui a vu Dražen Petrović partir brutalement, à 28 ans, dans un accident de voiture sur une autoroute allemande ? Ce jour-là, la balle orange a perdu un des ses plus beaux artistes. D'ailleurs, quelque soit le sport, se faire surnommer "Mozart" est la marque d'une reconnaissance immense et d'un génie évident. "J'étais ravi quand je jouais contre Dražen. A chaque fois que nous étions confrontés, il jouait avec une attitude agressive. Il n'était pas nerveux, il me rentrait juste dedans aussi fort que je lui rentrais dedans. Du coup, nous nous sommes livrés quelques superbes batailles dans le passé et, malheureusement, ce fut trop court." Michael Jordan Oui Petro a obtenu le respect de tous les joueurs qui ont croisé sa route sur un parquet, même les plus grands. Car Petro était un artiste de la balle orange, un shooteur à la précision et la régularité absolument diaboliques, un joueur capable de changer le cours de n'importe quel match. Mais Petro était aussi un gagneur, un trashtalker, un bosseur acharné, un gars qui ne se démonte jamais quelque soit le challenge qui s'offre à lui. "Je le respecte parce qu'il travaillait très, très dur. Tous les jours à l'entraînement, il était le premier arrivé et les dernier à quitter le gymnase. N'importe qui avec un telle dévotion pour son sport, vous ne pouvez que le respecter." Clyde Drexler Du Cibona Zagreb au New Jersey Nets en passant par le Real Madrid, les Trailblazers et son équipe nationale, Dražen Petrović a éclaboussé les parquets de son talent fabuleux, de sa bonne humeur, de son large sourire, de son footwork parfait et de ses shoots d'une pureté inégalée. Il parait que les meilleurs partent en premier. Dans le cas de Dražen, ce dicton est incontestable...

  • S01E18 Charles Barkley

    • March 24, 2014
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    Charles Barkley est un joueur à part dans le monde du basket. Un ailier fort de la taille d'un arrière qui pouvait déplacer plus de 115 kg beaucoup plus rapidement que tous les autres intérieurs de l'histoire. Charles Barkley, c'est une grande gueule, un trashtalker maladif qui ne ratait, et ne rate, jamais une occasion de sortir un bon mot ou de chambrer quiconque se trouve sur son chemin (joueurs, entraîneurs, dirigeants, journalistes...). Ce qui est agréable finalement, c'est qu'il dit toujours ce qu'il pense. Une chose tellement rare dans le monde du sport... "C'est un grand jour pour les tocards." Barkley à propos de la possibilité de défendre en zone en NBA Charles Barkley a collectionné les rebonds pendant les 16 saisons qu'il a passé dans la Grande Ligue. Il figure d'ailleurs dans le top 20 des rebondeurs que ce soit en nombre total de prises ou en moyenne de prise par match. Deux top 20 dont il est bien évidemment le joueur le plus petit. Le Chuckster a également empilé les points (22,2 de moyenne sur une carrière de plus de 1 000 matchs), les interceptions (plus de 1500) et les passes décisives (plus de 4 000). Un joueur ultra complet, très déterminé et leader dans l'âme qui n'aura jamais réussi à décrocher une bague de champion mais qui reste une légende de la balle orange. "Je me marre toujours quand les gens me questionnent sur les techniques pour prendre des rebonds. J'ai une technique. On appelle ça aller au charbon et attraper la balle !" Charles Barkley

  • S01E19 Vince Carter

    • April 10, 2014
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  • S01E20 Robert Horry

    • May 4, 2014
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    Avec ses 1107 matchs de saison régulière dont seulement 480 comme titulaire en 16 années passées sur les parquets de la grande ligue, Robert Horry est un remplaçant atypique dans l'histoire NBA. Des Rockets aux Spurs en passant très rapidement par les Suns et plus longuement par les Lakers, Big Shot Rob s'est fait une véritable réputation d'assassin. Un tueur à gage qui sortait du banc et répondait toujours présent dans le money time quand il s'agissait de finir un adversaire. "Je vais vous dire comment ça se passe avec Rob'. Il ne fait pas grand chose pendant les matchs. Parfois, il n'a même pas envie de jouer [...] Et puis, vous le mettez sur le parquet dans le quatrième quart d'un gros match, que ce soit de la saison régulière ou des PlayOffs et là c'est : « OK, c'est le moment de jouer maintenant. J'ai traîné toute la saison, il est temps de jouer maintenant » Aussi marrant que ça puisse sembler, c'est comme ça qu'il est." Tim Duncan à propos de ce bon Robert. Effectivement, tout au long de sa carrière, Horry a surgi du banc à de nombreuses reprises pour terminer le boulot de l'équipe dans le dernier quart-temps. Les Spurs (avant Duncan), le Magic, les Sixers, les Kings ou encore les Pistons pour ne citer que ces équipes-là, s'en souviennent parfaitement. Oui, c'est ça. C'est bien lui : Big Shot Rob. Un remplaçant aux moyennes de joueur lambda qui a gagné 7 bagues de champion et des campagnes pour le titre auxquelles il a toujours participé, non pas activement mais à sa manière, par des actions clutchissimes aux meilleurs moments. Un joueur qui détient plusieurs records assez impressionnants comme celui du plus grand nombre de tirs à 3 points tentés (135) et réussis (53) lors de finales NBA et qui est deuxième au classement des participations à des matchs de PlayOffs dans l'histoire NBA (244, derrière Derek Fisher).

  • S01E21 Bernard King

    • May 17, 2014
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    En septembre 2013, Bernard King a été intronisé au Hall of Fame malgré un relativement petit nombre de matchs joués en carrière (874) mais ce n'est que mérité pour cet ailier aussi charismatique que doué offensivement. De 1977 à 1993, King a donc passé 16 saisons en NBA mais il n'en a vraiment joué que 12 car entre ses excès nocturnes, l'alcool et une grave blessure au genou, ce sont près de 4 exercices entiers qui sont passés à la trappe. Pourtant, depuis le poste 3, l'ami Bernard a enfilé près de 20 000 points (22,5 en moyenne par match) et ramassé plus de 5 000 rebonds des Nets aux ... Nets en passant par le Jazz (vite fait), les Warriors et bien sûr les Knicks. A son apogée, pendant sa période Big Apple, King était tout simplement inarrêtable. Il était un scoreur sûr, pas forcément le plus spectaculaire mais d'un efficacité rare ! "Un attaquant pur, Bernard King était un attaquant pur !" Magic Johnson Et oui, Bernard King a ravi les fans NBA par son aisance, sa facilité, sa pureté offensive. Cet enfant de Brooklyn est devenu roi sous le maillot des Knicks mais, malheureusement pour lui, un soir de mars 1985 à Kansas City, une rupture totale des ligaments croisés le fusilla net alors qu'il était au top et qu'il tournait à presque 33 points de moyenne depuis le début d'une saison qu'il finira avec le titre de meilleur marqueur mais également à l'infirmerie dont il ne sortira que deux ans plus tard pour effectuer un retour impressionnant à un très haut niveau avec les Bullets... Un attaquant pur, élégant et muni d'un mental d'acier malgré tous les déboires qu'il a connu. Voilà ce qu'était Bernard King !

  • S01E22 Chris Webber

    • June 13, 2014
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    Le 6 février 2009, les Kings de Sacramento ont retiré le jersey de Chris Webber floqué du numéro 4 et qui trône désormais au plafond de la Sleep Train Arena. Ce n'est que mérité pour cet ailier fort splendide que fut C-Webb. Un ailier fort qui savait absolument tout faire sur un parquet. Une bête physique douée techniquement et munie d'un sens de la passe rare pour un joueur de ce gabarit (2m08, 112kg). Malgré les blessures qui ont émaillé ses 15 années de carrière NBA, Chris Webber c'est tout de même 20,7 points à 48% au tir, 9,8 rebonds, 4,2 passes décisives, 1,4 interception et 1,4 contre de moyenne en 831 matchs. Drafté par les Warriors puis passé par Washington (Bullets et Wizards), c'est bien aux Kings que Webber a marqué l'histoire de la balle orange. Car au delà de ses lignes statistiques monstrueuses pendant ses 7 saisons californiennes (plus de 23 points, plus de 10 rebonds, presque 5 passes, 1,5 interception et 1,5 contre par rencontre), l'ami Chris a été le leader de cette équipe de Sacramento qui a semé la terreur à l'Ouest entre 1999 et 2003. Malheureusement, ces Kings - qui pratiquait un basket offensif fabuleusement collectif et ultra spectaculaire - n'ont jamais pu atteindre le Graal et remporter cette bague que C-Webb, Vlade Divac et tous les autres auraient tant aimé pouvoir arborer sur l'une de leurs 10 doigts. La faute à des Lakers impitoyables qui les sortirent de PlayOffs en 2000, en 2001 et en 2002 dans des circonstances tout aussi célèbres que dramatiques ou scandaleuses... "Cette défaite fait mal. Je suis déçu mais cette défaite fait vraiment mal." Chris Webber après avoir perdu le match 6 des finales de conférence en 2002 face aux Lakers Et oui, Chris Webber laissera l'empreinte d'un joueur sublime tout aussi capable d'écrabouiller n'importe quel défenseur d'un dunk violent que d'effectuer une passe dans le dos digne de Steve Nash mais il laissera aussi l'empreinte d'un loser magnifique suivi par une certaine poisse faite de

  • S01E23 Michael Jordan (part. I)

    • July 13, 2014
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    Dans un sport extrêmement riche en stars, et un sport collectif qui plus est, être considéré comme le meilleur de tous les temps est simplement quelque chose de tout aussi impressionnant qu'unique ! C'est dire l'influence qu'a eu - et qu'a encore - Michael Jordan sur la balle orange. Mike EST le basket. Il est celui que tout le monde connaît, celui qui a dominé tous les adversaires qui lui ont été opposés, celui qui a fait passer la NBA à l'échelle planétaire, celui qu'on a surnommé Sa Majesté, Son Altesse, MJ, Mike, Air Jordan ou encore Money... Un joueur prodigieusement doué qui a su dompter la défaite pour mieux triompher ensuite. Un joueur que ceux qui ont eu le plaisir de le voir jouer en direct n'oublieront jamais et qui fascine tout autant ceux qui l'ont découvert plus tardivement. "Michael faisait tellement et si bien. Je me suis souvent retrouvé à avoir juste envie de m'arrêter pour le regarder... Et je jouais avec lui !" John Paxson Mike est celui dont les gestes ont fait le tour du Monde, celui dont le nom est une des marques les plus connues dans l'univers sportif, celui dont le numéro 23 est un chiffre clé dans la sphère NBA, celui qui a inspiré - et inspirera encore longtemps - des générations entières de basketteurs... Pour le dernier épisode de sa première saison, The Ball Never Lies s'est donc lancé dans le portrait de Son Altesse Michael Jordan.

Season 2

  • S02E01 Michael Jordan (part. II)

    • September 7, 2014
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    "Mais comment fait-il pour avoir la force d'être Michael Jordan tous les soirs ? " Bill Russell Le grand Bill a bien raison de poser la question et il n'est d'ailleurs certainement pas le seul. Car être Michael Jordan c'est atteindre le niveau maximum qu'un joueur de basket puisse espérer et... y rester tellement longtemps que même les plus grands champions se demandent comment c'est possible ! La recette ? Du talent bien évidemment, des qualités athlétiques hors du commun, une technique impressionnante, un mental en acier trempé et quelque chose qu'on a parfois tendance à oublier : une capacité de travail surhumaine qui a toujours permis à Mike de se maintenir au top voire de s'améliorer encore et encore et encore... Après la partie 1 de l'épisode #23 qui traitait des premières années de la fabuleuse carrière du meilleur joueur de tous les temps, The Ball Never Lies s'intéresse donc cette fois au règne de Son Altesse Jordan. Cette période où les titres, les récompenses personnelles et autres exploits en tous genres se sont enchaînés avec une telle régularité que ça en devenait écœurant pour les adversaires ! Ce ne sont pas Clyde Drexler, Charles Barkley, Gary Payton, Shawn Kemp, Patrick Ewing, Karl Malone ou John Stockton qui viendront nous dire le contraire... Installez-vous confortablement et réglez bien le son, la deuxième saison de TBNL démarre maintenant !

  • S02E02 Boris Diaw

    • October 10, 2014
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    Dans l'histoire NBA, combien d'ailiers peuvent attraper une balle en pleine course sur contre-attaque tout en enchaînant par une passe dans le dos à un coéquipier démarqué dans le corner ? Combien d'ailiers peuvent distribuer le caviar comme des oligarques russes ? Combien d'ailiers peuvent vous martyriser depuis le poste bas tout en étant capable de vous punir dans le périmètre ? Combien d'ailiers peuvent prendre un rebond, remonter la balle à vitesse grand V et faire une passe aveugle à un joueur arrivant lancé comme une bombe ? Combien d'ailiers peuvent envoyer un alley-oop depuis le milieu du terrain aussi aisément que les meilleurs meneurs ayant jamais tripoté la balle orange ? Ils ne sont pas beaucoup... On pense à Larry Bird, à Scottie Pippen, à Grant Hill, à LeBron James et, très clairement, Boris Diaw fait partie de ce club très fermé. Le club des «Point Forwards», ces joueurs qui jouent ailier et qui nous montrent autant de «qualités d'arrières» que de «qualités d'ailier pur». Oui, Boris Diaw côtoie des monstres du basket lorsqu'il s'agit d'évoquer cette catégorie de joueurs géniaux que sont les Point Forwards...

  • S02E03 Gilbert Arenas

    • November 16, 2014
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    Il existe des paquets de joueurs pouvant se targuer d'avoir fait une carrière plus longue ou plus fournie en titres collectifs ou individuels mais ils ne sont pas tant que ça à avoir fait vibrer les fans autant que Gilbert Arenas a pu le faire. "Vous savez, vous devez tous comprendre le coeur que Gilbert met dans ce jeu, à quel point ce garçon adore le basket." Gilbert Arenas Sr (le père) Gros bosseur, shooteur fou et ultra clutch, véritable petit TGV une fois lancé vers le cercle l'Agent Zéro a fait de nombreuses victimes sur les parquets. Oh oui... Des défenseurs écœurés, des équipes dévastées ou des coachs sans réponse, Gilbert en laissé pas mal derrière lui. "Il (Arenas) ne semble pas avoir vraiment de conscience. Je pense réellement qu'il n'en a pas. Quelques uns des tirs qu'il a pris ce soir, si vous les ratez, ce sont juste de shoots horribles. Horribles. Si vous les rentrez, ce sont des tirs incroyables. Je n'ai pas souvent la chance de jouer contre lui donc je ne suis pas suffisamment habitué à cette mentalité de rentrer dedans comme ça. Il a rentré de gros tirs ce soir mais je serai prêt la prochaine fois." Kobe Bryant après en avoir pris 60 sur le museau Il a l'air impressionné et pourtant en terme de grosse performance, il s'y connaît plutôt bien l'ami Kobe... L'arrière Angelino n'est pas le seul à avoir souffert des frasques basketballistiques d'Arenas. Mais ça, c'était avant car, aujourd'hui, Gilbert n'a que 32 ans et il n'est déjà plus en NBA depuis presque deux ans. Et malheureusement, la probabilité d'un retour de celui qu'on a également surnommé "The Hibachi" ou "The Black President" s'amenuise de plus en plus au fur et à mesure que le temps passe. Une grande tristesse pour tous les fans de balle orange que The Ball Never Lies va tenter d'atténuer avec ce petit portrait tout aussi péchu que réaliste ou émouvant...

  • S02E04 Run TMC

    • November 30, 2014
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    Un meneur, un arrière pur et un swingman. Tim Hardaway, Mitch Richmond et Chris Mullin. Trois joueurs qui ont formé l'un des Big Three les plus excitants de l'histoire NBA. Trois joueurs qui ont enflammé chaque parquet sur lequel ils ont eu l'occasion de pratiquer leur basket ultra-offensif entre 1989 et 1991. "Le temps ne pourra jamais effacer la marque indélébile laissée par le Run TMC sur les Warriors et même sur la NBA." Scott Howard-Cooper, analyste sur nba.com depuis 1998. Cette phrase résume à elle seule tout ce représente cette triplette magique des Warriors. Sous la direction de Don Nelson, Tim, Mitch et Chris nous ont régalé et même si l'aventure n'a duré que deux petites saisons, aucun fan NBA ne les oubliera. Pourquoi ? Parce que ce trio de joueurs extérieurs attaquait tellement vite, tellement bien, tellement agressivement et avec tant de feeling qu'il est devenu une des plus grandes références de la balle orange en terme de "Run and Gun". Hardaway distribuait et scorait, Richmond faisait de tout et scorait et Mullin...scorait. Trois fous offensifs qui se sont parfaitement trouvés quasiment instantanément dès qu'ils ont eu l'occasion de partager la gonfle. "Dès que nous nous sommes retrouvés ensemble sur le terrain, ça a fonctionné." Chris Mullin Et bien, ça s'est vu cher Chris ! Et pas qu'un peu. Un seul vrai regret : que ça n'ait pas duré plus longtemps ! Qu'a cela ne tienne, The Ball Never Lies se charge de faire durer le plaisir...

  • S02E05 Gary Payton

    • December 24, 2014
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    Un jour, le célèbre Hall of Famer Gail Goodrich a décrit Gary Payton comme étant "probablement le meneur le plus complet ayant jamais foulé un parquet" ! Rien que ça ! C'est dire à quel point Payton a marqué les esprits en 17 ans de NBA. Trashtalker tout aussi inspiré qu'irritant, défenseur tout aussi collant que vicieux et attaquant tout aussi bon passeur que scoreur, Gary est le 4ème intercepteur le plus prolifique de l'histoire (2 445 vols), le 8ème plus gros passeur décisif (8 966 caviars) tout en ayant enfilé presque 22 000 points (21 813 exactement) ! Des stats qui le placent parmi les meilleurs meneurs de l'histoire. Mais au delà des stats, des trophées, des sélections All Star ou All NBA, c'est bien évidemment la grande bouche de Payton qui a laissé des souvenirs indélébiles à tous les fans de balle orange ainsi qu'à tous les coéquipiers ou adversaires de celui qui fut surnommé "The Glove". Ce joueur, qui pouvait tout faire sur un terrain, prenait avant tout un malin plaisir à travailler au couteau le mental de ses opposants soir après soir. Avec lui, les Supersonics de Seattle ont été une des meilleures et des plus excitantes franchises des années 90. Sa défense a étouffé bon nombre de meneurs ou d'arrières, son duo avec Kemp a fait se lever des foules entières et ses provocations verbales ont failli rendre fou un nombre incalculables de joueurs. "On a parfois envie de lui rentrer dedans mais il emmerde quand même plus nos adversaires que nous." George Karl En une phrase, coach karl a résumé les liens bien spécifiques qui l'ont uni à Gary Payton et qui permettent aujourd'hui encore aux Sonics d'être dans le cœur de tous les amateurs de NBA.

  • S02E06 Patrick Ewing

    • February 10, 2015
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    Il fait partie de ces joueurs dont la carrière n’est que trop rarement reconnue à sa juste valeur. Il fait partie de ces monstres de la balle orange dont les doigts sont vierges de bagues mais dont l'épopée en NBA a marqué des générations entières de fans ! « Nous avons eu l’ère Mikan, l’ère Russell, l’ère Kareem… Maintenant, nous allons avoir l’ère Ewing. » Voilà ce qui se murmurait chez les scouts de la Grande Ligue juste avant la draft de 1985 qui vit le pivot numéro 33 être choisi en première position. Dans un sens, ce n’est pas faux.. Patrick Ewing est un géant des raquettes NBA. Un pivot craint pour ses contres et son goût du combat, admiré pour sa technique ou son charisme et respecté pour son âme dédié au basket, son engagement sans compromission pour cette immense franchise que sont les Knicks. Le grand Pat c’est 21 points, presque 10 rebonds et 2,4 contres de moyenne en presque 1200 matchs de saison régulière. Celui qu’on surnommait « Big Pat » ou « The Beast » a eu une grande carrière, pleine d’émotions, de moments intenses et de performances dantesques. Une carrière que New York, le Basketball et tous ses fans n’oublieront jamais. Une carrière que The Ball Never Lies retrace dans son épisode #28…

  • S02E07 Baron Davis

    • April 16, 2015
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    Quand on passe en revue la carrière de Baron Davis, le mot "bague" ne vient même pas à l'esprit puisque ce joueur spectaculaire et attachant n'a tout simplement jamais vu ne serait-ce que la couleur d'une finale de conférence. "Il est, de loin, le meilleur meneur de la ligue actuellement." LeBron James à propos de B-Davis en 2007 Si c'est King James qui le dit alors... La NBA a vu défiler des rois, des princes, des divas, des starlettes ou encore des marsupilamis en tout genre mais il n'y a eu et il n'y aura qu'un seul Baron ! Un noble du basket amateur de gros dunks et de pénétrations tout en puissance, un meneur tout aussi scoreur que playmaker qui a évolué dans la Grande Ligue tout au long des années 2000 et dont la détente de kangourou, la capacité à planter des points ou le sens de la passe ont été un régal pour les fans. "Vous pouvez le mettre tout là haut avec Shaquille O'Neal et Tim Duncan en termes de leadership et de potentiel MVP !" Magic Johnson (en 2004) dans son style toujours aussi réaliste et pas du tout dans l'exagération... De Charlotte à New York, en passant par la Nouvelle-Orléans, Golden State et Los Angeles, Davis a eu une carrière nourrie de quelques superbes performances et surtout, il a toujours tout donné et il a laissé des marques indélébiles dans l'égo de ses adversaires ou dans le cœur des supporters. The Ball Never Lies retrace ici les 13 saisons de ce Baron dont la drogue était une balle orange...

Season 3

  • S03E01 Yao Ming

    • November 28, 2015
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    Il parait que la taille ne fait pas l'homme mais sur un parquet NBA, mesurer pas loin de 2m30 peut se révéler très utile. De 2002 à 2011, Yao Ming a su utiliser cet avantage physique impressionnant pour faire parler de lui d'un bout à l'autre de la planète basket, de la planète tout court même... Les sceptiques étaient nombreux à l'arrivée du grand Chinois au sein de la Grande et il en avait d'ailleurs parfaitement conscience : "Je vais prendre le temps de m'adapter, je pense que je peux y arriver. " Effectivement, il y est arrivé ! Il a même dominé la plupart des pivots qu'il a croisé sous les cercles aux quatre coins des Etats-Unis car Yao Ming c'est une combinaison de taille, de mobilité et de technique absolument jamais vue avant lui et que nous ne sommes pas sûrs de revoir un jour. Le gros Shaq - qui avait lui-même beaucoup moqué son collègue asiatique quand il a débarqué - a du se rendre à l'évidence : "Il a toutes les qualités. Il peut shooter, il peut dribbler. ce n'est pas un empoté. " Un empoté ? Loin de là ? En presque 500 matchs (seulement hélas), Ming a envoyé plus de 19 points et 9 rebonds de moyenne, portant souvent les Rockets au bout de ses immenses bras. Mais Yao Ming c'est bien plus que des stats, de la technique ou un physique. Yao Ming c'est une carrière qui a dépassé les frontières du sport. Yao Ming c'est une histoire à lui tout seul, un "cadeau de Dieu" comme l'a déclaré Allen Iverson... Pour lancer sa troisième saison, The Ball Never Lies tire donc le portrait de ce basketteur venu de Chine et qui a conquis beaucoup plus que la ville de Houston lors de son passage en NBA.

  • S03E02 Bill Laimbeer

    • May 31, 2016
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    Il est né à Boston, il a grandi à Chicago. Il est le fils d'un riche avocat, un col blanc. Et il est devenu la référence des cols bleus. William Laimbeer Jr, dit "Bill" voire "Billou" pour les intimes, était un ouvrier des parquets, un ouvrier très qualifié qui n'oubliait jamais sa boîte à outils et à coups de vices. Nous parlons ici d'un pivot qui n'avait qu'une seule obsession : gagner et ce, quelqu'en soient les moyens. Défenseur appliqué et (très) dur au mal doublé d'un rebondeur carrément maladif, Bill Laimbeer s'est bâti une réputation nationale voire internationale à travers ses grosses fautes - dangereuses parfois -, ses provocations, son goût du combat au sens propre comme au figuré. Tout cela, il l'a ramené sur les parquets de la Grande Ligue soir après soir de 1980 à 1994. Grand, costaud, doté d'un regard de tueur, amateur de sang et de chatouilles velues, Bill Laimbeer était plus qu'un combattant des raquettes. Il était un leader de l'ombre, un joueur intelligent, un vicelard de première, un col bleu, LE col bleu. Enfin, disons qu si cette noble confrérie des planches NBA devait avoir un Saint Patron, il se prénommerait Bill, sans aucun doute possible. ET c'est donc cette histoire que vous raconte aujourd'hui l'équipe de The Ball Never Lies. L'histoire d'un Bad Boy dans l'âme, un boucher technique et malin qui mérite autant que beaucoup d'autres Hall of Famers d'être considéré quand il est question de légende de la balle orange. Allez, on vous propose de vous installer confortablement pour un peu plus de 13 minutes made in Detroit !

  • S03E03 Tim Duncan

    • May 14, 2017
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    Tim Duncan... Rien qu'à l'évocation de ce nom, chaque fan des Spurs ou tout simplement de NBA a des frissons qui lui parcourent tout le corps. Et ce pour une raison évidente : le monsieur est une légende, une icone incontournable de la balle orange. Tout au long de sa fabuleuse carrière, Timmy a éclaboussé la Grande Ligue de sa classe, de son efficacité, de ses fondamentaux et de son mental de gagnant insatiable. Son duo avec coach Gregg Popovich est le point d'ancrage, le socle de la dynastie que sont devenus les Spurs à partir de la Draft de leur mythique numéro 21. "Il fait le boulot, chaque jour, chaque soir. Il est polyvalent, complètement capable de faire toutes les choses dont son équipe a besoin pour gagner." -- Karem Abdul-Jabbar "Sans aucun doute, il est le meilleur ailier-fort de l'histoire. C'est difficile de comparer qui que ce soit à Tim." -- David Robinson Difficile ? C'est même impossible monsieur l'Amiral ! En termes de statistiques, Duncan est un monstre. En termes de palmarès, de vie de groupe, de leadership et de continuité, il est juste intouchable. Tim Duncan... Sa carrière et sa destinée sont tellement folles et exemplaires à la fois que l'envie a pris l'équipe TBNL de vous proposer un format un peu plus long. Léonce a arrêté de compter ses heures de boulot sur cet opus quand il a passé la barre des 200 et qu'il s'est rendu compte qu'on en n'était qu'à la moitié. Alex a raconté une histoire. Hélène y a mis sa touche indispensable. Et pendant tout ce temps, Tata Nicole enfilait des perles. Le résultat : l'épisode #32, près de 32 minutes sur la fascinante épopée du Big Fundamental sur les parquets NBA.

  • S03E04 Andernee `Hardaway

    • October 16, 2018
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    Il fait partie de ces OVNIS qui traversent la galaxie NBA sans que l'on ait la sensation d'avoir vraiment eu le temps de les admirer suffisamment. Anfernee Hardaway avait un talent fou. Anferne Hardaway a dominé comme assez peu de joueurs avant et après lui. Il fait partie intégrante de l'histoire du Magic d'Orlando en particulier et de la grande ligue en général. Il est arrivé sur les parquets de l'élite en 1993 et dès 1995, les plus grandes légendes ne tarissaient pas d'éloges à son sujet. Gary Payton disait de lui qu'il était "le meilleur arrière en NBA", tout simplement. Bill Walton parlait du "meilleur joueur que Michael Jordan ait eu à affronter en Playoffs". Magic Johnson expliquait que ce jeune meneur surnommé Penny avait juste "plus de talent que lui-même (Magic) n'en avait jamais eu", rien que ça ! Même Pat Riley, coach des Knicks ou du Heat qui eurent à affronter Penny dans son prime, eut un jour cette phrase qui en dit long sur le respect que le gominé portait à Anfernee : "Il n'y a personne d'autre comme lui (sous-entendu, dans l'histoire NBA). Ah si, mais il est retraité." Riley fait ici référence à Magic Johnson et si la comparaison peut se discuter, elle montre en tout cas l'estime que pouvait générer le talent sans limite de Penny. Il a débarqué en NBA et fut l’œil d'un cyclone nommé Magic avec son pote Shaq. Il a connu une ascension fulgurante suivie d'une descente aux enfers qui le fut tout autant. Son talent a éclaboussé le monde de la balle orange pendant plusieurs saisons mais pas assez pour véritablement garnir son palmarès que ses aptitudes auraient pu le laisser penser. Parce que les blessures s'en sont mêlées, parce que certains de ses choix n'ont pas toujours été les meilleurs, parce qu'une carrière NBA se joue très souvent sur des détails... Dans son 33ème épisode, long d'un peu plus de 30 minutes, The Ball Never Lies revient en force et vous conte une l'histoire d'Anfernee Hardaway, dit Penny. Un monstre au talent hallucinan