Linda Lorin nous emmène à la découverte de notre patrimoine artistique, culturel et naturel. Dans ce numéro : Edward Hopper, un solitaire à Paris - La Sardaigne couleur argent - En Guyane, le mystère de l’arbre qui pleure. Edward Hopper, un solitaire à Paris À 24 ans, le peintre américain Edward Hopper séjourne à Paris. En solitaire, il arpente les rues de Saint-Germain-des-Prés et aiguise son regard d’observateur. Pendant longtemps, il gardera en lui la subtilité des coloris parisiens embués de gris. La Sardaigne couleur argent En Sardaigne, baptisée "l’île aux veines d’argent", l’exploitation de ce minerai a transformé tout un pan de la côte. C’est le cas de Porto Flavia, port creusé à même la montagne, ou de la petite cité minière d’Iglesias, située dans le sud de l’île italienne. En Guyane, le mystère de l’arbre qui pleure À Rémire-Montjoly, petite ville collée à Cayenne, les résidents profitent de l’une des plus belles plages de Guyane, surplombée d’une forêt amazonienne protégée. Depuis le XVIIIe siècle, les habitants tirent de cette dernière une matière élastique fascinante : le "bois qui pleure".