Tout a commencé le 17 octobre avec l’annonce d’une taxe sur l’utilisation de Whatsapp, la messagerie mobile gratuite. Alors qu’un tiers de la population vit déjà dans la pauvreté, c’est un électrochoc. Aux quatre coins du pays, les Libanais dénoncent l’absence de services publics, le détournement d’argent public et la corruption des dirigeants.
El 25 % de los libaneses se ha echado a la calle para protestar contra la corrupción que gangrena el sistema. Para entender esta revuelta inesperada, acompañamos a tres libaneses de credos y clases sociales diferentes, en tres ciudades: Beirut (la capital liberal y multicultural), Trípoli (sunita y conservadora) y Tiro (bastión de los grandes partidos chiitas).