Pour ce premier épisode de la série, Alexandre Taillefer fait la rencontre des 3 start-up que nous allons suivre au fil de la série. D’abord Heddoko, une entreprise qui travaille à la création de vêtements intelligents et connectés. Ensuite on découvre l’équipe de Dominic Bilodeau chez Playhybrid, une start-up qui travaille sur un jeu pour téléphone mobile. Finalement, on se familiarise avec Montréal Frais une jeune compagnie qui offre un service d’épicerie en ligne et réinventé. On se rend enfin dans les bureaux de la firme Moment Factory et l’entrepreneur Louis-Philippe Maurice nous dresse un portrait du milieu des start-up montréalaises.
Cette semaine chez Heddoko on travaille sur le prototype et on cherche des solutions concrètes à un problème récurrent dans le milieu des technologies wearables. Alexandre Taillefer se rend chez Playhybrid pour une rencontre de travail. De son côté la start-up Montréal Frais travaille à l'amélioration de la version bêta de son site web. En portrait, on s'entretient avec la firme Kinova spécialisée en robotique afin de parler des défis reliés à la recherche et développement.
Cette semaine, la série se penche sur l’argent et le financement des start-up. Chez Heddoko, on s’attarde sur l’importance du pitch de vente tandis qu’une bourse remportée à Munich vient apporter un peu de confiance à l’équipe. Pour Playhybrid, une meilleure gestion des finances s’impose alors que chez Montréal Frais c’est le temps qui doit être utilisé de manière plus efficace. Enfin, on se familiarise avec les accélérateurs District 3 et Founder Fuel.
Pour ce quatrième volet de la série, Alexandre Taillefer s’intéresse tout d’abord à l’entente qui unit les différents partenaires et employés de la start-up Heddoko. Chez Playhybrid, on essaie de comprendre pourquoi la compagnie a autant de difficulté avec le recrutement d’employés. Finalement, Vincent Lachance de Montréal Frais se rend à la rencontre des gens de la compagnie à succès Frank & Oak qui, au cours des dernières années, a eu à composer avec une arrivée massive de nouveaux employés.
Au menu d’Alexandre et les conquérants cette semaine : l’approche marketing. Mazen et Alexandre, de la compagnie Heddoko se penche sur le branding de leur compagnie et se rend à une rencontre chez l’agence Sid Lee. Les choses s’accélèrent chez Playhybrid en prévision d’un voyage d’affaires à San Francisco pour assister à la Game Developers Conference. Enfin, Vincent Lachance de Montréal Frais travaille à intégrer les produits de ses nouveaux fournisseurs a son site avec en tête un grand souci d’esthétisme.
Cette semaine, une bonne nouvelle arrive pour l'équipe d'Heddoko : la géante Ubisoft va parrainer les activités de la start-up via la fondation Mtl inc. On retrouve également Dominic Bilodeau de Playhybrid en Californie alors qu'il multiplie les rencontres de réseautage avec de gros joueurs de l'industrie dont Daniel Robichaud de la compagnie Intel. De son côté, Vincent Lachance de Montréal Frais participe au Sommet du commerce de détail du Québec dans le but de faire connaître son entreprise.
Pour ce nouveau rendez-vous, nos trois entreprises vivent des événements bien concrets alors que l’équipe d’Heddoko rencontre des gens de la compagnie Lolë et de l’Impact de Montréal. Pour Playhybrid, toujours en Californie, c’est à la suite de beaucoup d’efforts qu’un rendez-vous chez Google se concrétise finalement. De son côté Vincent Lachance de Montréal Frais se fait conseiller par un expert en commerce en ligne, Martin-Luc Archambault.
Pour ce dernier rendez-vous, une rencontre de groupe est organisée entre Alexandre Taillefer et nos trois entreprises. Parallèlement, on suit le déménagement et la mise en place des gars d’Heddoko. Chez Playhybrid, les délais sont encore repoussés et on apprend que des changements vont survenir dans la vie personnelle de Dominic Bilodeau. Enfin, Montréal Frais continue d’essayer d’élargir son champ d’opération. Pour bien terminer, on boucle la boucle chez Moment Factory, on se familiarise avec le concept du Fail Camp et on aborde la délicate question de la place des femmes dans le milieu des start-up.